C. elegans a beau être minuscule, c’est une star des laboratoires. En modélisant son système nerveux, les scientifiques veulent en apprendre plus sur les mécanismes qui fondent nos comportements.
Nos yeux n’ont pas besoin de mode d’emploi pour fonctionner. Mais quels processus sont à l’œuvre ? Et que pouvons-nous apprendre des yeux d’autres espèces vivantes ?
Pour les personnes paralysées, il serait très utile de pouvoir contrôler des bras ou des jambes robotisés, c’est le principe des interfaces cerveau-machine.
À Montréal se trouve l’une des plus importantes banques de cerveaux au monde, la Banque de cerveaux Douglas-Bell Canada. Elle permet des découvertes sur différentes maladies neurologiques et psychiatriques.
Vous est-il déjà arrivé de regarder un visage familier et de le trouver soudainement inhabituel ou inconnu ? Il s’agit peut-être d’un cas de « jamais vu ».
L’IA permet-elle de modéliser certaines pathologies neurologiques ? La question peut se poser pour l’épilepsie, où le cerveau a une activité excessive… Quelles sont les limites aux comparaisons ?
Malgré un siècle d’étude, la maladie d’Alzheimer reste mal comprise et sans solution thérapeutique. Une nouvelle piste, étudiant le déséquilibre cellulaire de métaux (tel le cuivre), est prometteuse.
L’altération des récepteurs de l’insuline au niveau des vaisseaux sanguins entre le sang et le cerveau, contribuerait à la résistance à l’insuline observée dans l’Alzheimer.
L’excès d’amyloïde bêta dans le cerveau a longtemps été considéré comme la cause principale de la maladie d’Alzheimer. De nouvelles recherches semblent suggérer le contraire.
Quand on écoute de la musique, notre cerveau prédit ce qu’il va se passer ensuite. Cette prédiction va affecter notre plaisir, ou notre rejet, pour une chanson.
Les impacts de l’utilisation d’appareils électroniques sont d’autant plus cruciaux durant les premières années de vie, tant sur le plan visuel que sur le développement cognitif et social de l’enfant.
L’Alzheimer est considérée par des scientifiques comme un nouveau type de diabète localisé au niveau du cerveau, nommé diabète de type 3. Il faut se méfier de cette appellation !
Sans une bonne communication entre cerveau et muscles, pas de mouvement contrôlé possible… Une nouvelle étude se penche sur là où ce dialogue s’établit et d’en identifier un nouvel acteur clé.
Les neurones situés dans les régions du cerveau responsables du déclenchement des crises d’épilepsie sont beaucoup moins diversifiés que les neurones des régions non responsables de celles-ci.
Tous nos organes ont tendance à perdre du volume avec l’âge, le cerveau ne fait pas exception. Mais comme pour les muscles, prendre de l’exercice permet de lutter contre cette atrophie cérébrale.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Professeur des Universités en Physiologie de l'Exercice / Neurosciences Intégratives, Directeur Unité Recherche EuroMov Digital Health in Motion, Université de Montpellier
Directeure de Recherche, Equipe ImpAct, Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon, CNRS, Université Claude Bernard Lyon 1, Université Jean Monnet, Inserm
Directeur de l'unité Neuropsychologie et imagerie de la mémoire humaine, Inserm, Ecole Pratique des Hautes Etudes, Université de Caen Normandie, Université de Caen Normandie