Dans le domaine des ressources humaines, les notions qui se sont imposées ces dernières années éclipsent notamment l’importance du parcours des candidats et de leur sens du collectif.
Des facteurs non technologiques comme le manque de connaissance ou les considérations éthiques ralentissent aujourd’hui la diffusion des applications possibles.
Selon une étude, le recours à des cabinets comme McKinsey, qui embarrasse la campagne du président-candidat Emmanuel Macron, vise d’abord à rassurer le décideur face au risque de commettre une erreur.
Au-delà des questions d’égalité, les auditrices associées identifieraient davantage de points clés et communiqueraient de façon plus précise que leurs collègues masculins.
Le gain de temps généré par l’automatisation des tâches répétitives va notamment permettre aux auditeurs de se redéployer vers des tâches à plus forte valeur ajoutée pour le client.
Des entreprises où il est réputé stressant de travailler, comme les cabinets de conseil, figurent en tête du classement « Best Workplaces 2019 ». Comment expliquer ces résultats contre-intuitifs ?
Des chercheurs ont mis en évidence les qualités de celles et ceux qui parviennent aux plus hautes fonctions dans le conseil. Une étude dont les conclusions peuvent aussi concerner d’autres secteurs.
Outils mal adaptés, définition floue, craintes de créer une segmentation dans l’équipe… Les politiques mises en place pour gagner la « guerre des talents » souffrent de nombreux défauts.
Face à la guerre des talents, les cabinets de conseil doivent innover dans leurs pratiques de recrutement. Notamment en se rapprochant davantage des universités et des grandes écoles.