Les préoccupations climatiques, sanitaires ou encore géopolitiques favorisent l’adoption de comportements plus responsables tout en favorisant certaines attitudes hédonistes.
Les jeunes ont intégré les plates-formes de troc et de ventes d’occasion à leurs habitudes. Cette tendance signe-t-elle pour autant un basculement vers une consommation plus responsable ?
Face à la diminution progressive de l’enneigement en montagne, le consommateur se retrouve face à trois options : skier ailleurs, skier à d’autres périodes… ou choisir d’autres loisirs.
Le poids économique de la filière alcool reste difficile à évaluer : plusieurs externalités, positives comme le prestige international ou négatives comme le coût social, ne sont pas prises en compte.
Ce principe, théorisé par l’économiste britannique William Stanley Jevons en 1865, se concrétise aujourd’hui dans des secteurs comme le transport aérien ou le numérique.
Selon différents travaux de recherche, privilégier les courses en ligne ou faire ses achats dans des lieux calmes et lumineux permet au consommateur d’éviter les décisions erronées…
L’attrait des jeunes générations pour les centres-villes dépasse leur intérêt pour les centres commerciaux, souvent perçus comme de simples lieux d’approvisionnement.
Le soutien de supporters du Moyen-Orient ou d’Asie du Sud-Est à des équipes comme le Brésil ou l’Allemagne traduit des bouleversements profonds dans le rapport aux équipes nationales de football.
Les plates-formes proposant l’accès plutôt que la possession font florès dans tous les secteurs. Mais leurs avantages cachent de nombreuses limites, dont la portée reste largement sous-estimée.
L’aide aux démunis passe de plus en plus par la fourniture de produits de consommation courante. Son succès, en outre, repose sur la capacité d’un acteur à en entrainer d’autres.
La croissance chinoise, qui repose sur des investissements de moins en moins rentables, dépend aujourd’hui de la mise en œuvre de réformes repoussées depuis presque deux décennies.
La forte inflation a incité certaines entreprises à relever leurs prix de façon masquée, s’exposant ainsi à différentes réactions de la part des consommateurs.
Selon une étude, les individus qui mettent en avant leurs efforts dans leur consommation restent globalement perçus comme « intégristes », « ermites », « rabat-joie » ou encore « snobs ».
Au-delà des polémiques, les propos d’Emmanuel Macron laissent entrevoir dans la crise climatique une opportunité de rompre avec les errances des systèmes qui prévalent depuis 30 ans.
Plus fiables, moins chers, toujours disponibles, les influenceurs virtuels sont aussi incroyablement populaires et rencontrent un franc succès auprès des consommateurs.
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)