Quelle information mettre en avant sur les emballages (et comment) pour que les consommateurs se tournent vers les produits les plus alignés avec des objectifs de développement durable ?
Il n’est pas toujours évident de consommer responsable, pour des raisons financières mais pas uniquement : comment les entreprises peuvent-elles y contribuer ?
Beaucoup de produits avec de petits défauts esthétiques n’en sont pas moins fonctionnels. Et si les entreprises développaient un nouveau marché pour les commercialiser ?
Les influenceurs utilisent généralement es médias sociaux afin d’inciter les gens à consommer. Cependant, les influenceurs éthiques utilisent leur présence pour plaider en faveur de pratiques durables.
Le secteur du luxe est-il un modèle de durabilité ou le symbole d’une sur consommation ? Sans un fort engagement des consommateurs, le secteur peinera à devenir plus responsable.
Que les jeunes affichent des contradictions entre leurs valeurs environnementales et leurs comportements de consommation, ce n’est pas qu’une histoire de contrainte financière.
Sortir de la pêche industrielle requiert de repenser complètement la chaine de valeur, du pêcheur à la distribution. Cela nécessite aussi de nouvelles formes de coopération entre les acteurs.
Les alternatives à la « fast fashion » ne sont pas toujours suffisamment connues. Pour aider les consommateurs à choisir en connaissance de cause, il faudrait soutenir davantage les offres de proximité.
Réguler la fast fashion est peut-être nécessaire mais ne sera pas suffisant. Outre les imprécisions du texte, le succès passe aussi par la mobilisation des consommateurs.
Pour répondre aux nouvelles demandes des consommateurs, les industriels multiplient les promesses. Toutes ne sont pas aussi efficaces sur la perception et les intentions d’achat des futurs clients ?
Favoriser l’émergence de comportements pro-environnementaux chez les individus constitue un défi majeur. Et si une exposition virtuelle à la nature le permettait ?
Selon un travail de recherche, un évènement simple comme une conversation avec un proche ou la lecture d’un post sur les réseaux sociaux peut créer un déclic dans les habitudes d’achat de vêtements.
La sobriété alimentaire est souvent dissociée de la notion de plaisir. L’apprentissage de la modération peut pourtant être source de grande satisfaction.
Proposer un affichage environnemental pour une consommation alimentaire plus durable paraît une idée séduisante. Cependant, la méthodologie officielle peut conduire à des contre-performances.
Kolli Inès, Université du Québec à Montréal (UQAM); Amélie Guèvremont, Université du Québec à Montréal (UQAM), and Fabien Durif, Université du Québec à Montréal (UQAM)
Plusieurs marques prônent la consommation responsable auprès de leurs clients. Cette stratégie de sobriété, perçue positivement par les consommateurs, devient un outil de différentiation.
À la lumière des changements engendrés par la pandémie, il est clair que l’autonomie alimentaire comme cadre de référence pour (ré)organiser le système alimentaire québécois n’est pas suffisante.
Les marques ont-elles intérêt réellement à proposer des produits aisément réparables et communiquer à ce sujet ? Le consommateur risque en effet de l’interpréter comme un manque de fiabilité.
Nicolas Roisin, Université catholique de Louvain (UCLouvain); Jean-Pierre Raskin, Université catholique de Louvain (UCLouvain); Sébastien Toussaint, Université catholique de Louvain (UCLouvain), and Valerie Swaen, Université catholique de Louvain (UCLouvain)
Mis en place début 2021, ce dispositif essentiel comporte encore dans les faits de nombreuses lacunes.
L’empreinte carbone associée à l’utilisation des services numériques est dominée par la fabrication des appareils électroniques. À l’approche de Noël, une prise de conscience s’impose.
Professeur titulaire, directeur de l'Observatoire de la consommation responsable (OCR) et du Laboratoire FCI GreenUXlab, Université du Québec à Montréal (UQAM)