Pour répondre aux aspirations de sens au travail, les organisations doivent développer l’écoute et la remontée d’informations de leurs équipes. Des méthodes simples existent.
Après des décennies d’efforts pour accroître la représentation féminine dans les instances décisionnelles des entreprises, peu de femmes parviennent à prendre leur place.
Dans le domaine des ressources humaines, les notions qui se sont imposées ces dernières années éclipsent notamment l’importance du parcours des candidats et de leur sens du collectif.
Une recherche montre comment le capital d’investissement peut avoir un impact positif plus large que de se limiter à récompenser les entreprises soucieuses de l’environnement.
Les étudiants-entrepreneurs accompagnés par les Pépite reconnaissent largement leur utilité. Elles gagneraient néanmoins à renforcer leur capacité à les faire accéder à des ressources financières.
Une étude récente montre que ceux qui se lancent dans une aventure entrepreneuriale en fin de carrière apportent des innovations plus radicales (et plus rémunératrices).
Nombreux sont ceux et celles résignés à ce que les entreprises technologiques collectent leurs données privées. Mais il faut faire davantage pour limiter les informations personnelles collectées.
La lutte contre les conduites addictives n’a jamais pris en compte la question des conditions de travail qui peuvent amener à la consommation de substances psychoactives.
Les start-up présentent une image de petites entreprises innovantes, animées par des idées inédites. Or, une grande partie tend à adopter la même philosophie du « lean start-up », théorisée en 2012.
Des stéréotypes et préjugés minent l’avancement des femmes dans les organisations. Pour les contrer, il faut poser un nouveau regard sur le leadership et favoriser les mandats propulseurs de carrière.
Services d’immatriculation de sociétés-écrans, messageries cryptées et modes de régulation des infrastructures portuaires sont autant d’exemples de supports fournis par l’économie légale aux trafics.
Favoriser l’implantation des entreprises dans les banlieues comme le suggérait le rapport Borloo doit permettre une intégration politique et sociale des citoyens.
La transition écologique impose un retour des questions de l’impact des activités économiques sur les territoires d’implantations. Une rupture impérative dans les stratégies d’entreprises.
La succession des réformes et des « relances » de l’enseignement professionnel depuis 40 ans rappelle la difficulté de concilier finalités éducatives, sociales et économiques.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)