Notre époque est profondément marquée par l’affaiblissement de la croyance dans le couple « représentant/représenté ». Or, une régénération de la démocratie « par le bas » est possible.
Yankel Fijalkow, École nationale supérieure d’architecture de Paris Val de Seine (ENSAPVS) – USPC
Nombreux seraient les citadins qui aspirent à quitter les métropoles. Mais répondent-ils alors à l’appel de la nature ? L’histoire et les données du confinement révèlent une situation plus complexe.
Dans « Un monde en nègre et blanc », l’historienne Aurélia Michel relate et clarifie, à destination d’un large public, le poids encore très actif de l’esclavage dans nos sociétés.
Le mot « populisme » semble être synonyme de risque politique. Or, il représente aussi un droit de conflit en démocratie, au lieu de renvoyer le peuple à la seule position d’électeur-consommateur.
Georgios Michas, Technological Educational Institute of Crete
La demande croissante en énergie et en minerais devrait voir augmenter le nombre de tremblements de terre induits par l’homme. Pour y faire face, une analyse des causes de cette sismicité s’impose.
Le gouvernement vénézuélien et la polarisation politique ont fait de ce pays un terrain miné pour les chercheurs travaillant sur des sujets sensibles telles que les populations face aux catastrophes.
Exposition à du contenu non désiré, contact avec des inconnus, addiction, cyber-harcèlement : quels sont les vrais risques associés à Internet pour les jeunes ?
Quelles libertés sommes-nous prêts à sacrifier pour être mieux protégés ? Quels dangers sommes-nous prêts à côtoyer pour garder le maximum de libertés d’action.
Dans le cadre du Festival des Idées, consacré cette année à « L’amour du risque », l’artiste ORLAN répond aux questions du physicien Joël Chevrier, autour de son rapport à la sphère scientifique.
Le prêt à penser, les contrevérités et la désinvolture se sont répandus à propos de la question du danger nucléaire. Voici quelques exemples à détecter et quelques pistes pour éviter l’intoxication.
La fonte des glaces, conséquence du réchauffement climatique, permet une intensification de la navigation polaire. Mais celle-ci est particulièrement risquée, pour les hommes et pour l’environnement.
Un paradigme nouveau s’est imposé sur la scène sociale, celui de « l’humain augmenté ». Analyse de ce phénomène à travers la problématique du corps réparé ou/et augmenté par une prothèse.
Au fur et à mesure que les machines deviennent androïdes, avec des compétences et une habileté toujours plus affinée, la question est de savoir ce qui reste pour nous en différencier.
Enseignante certifée (lettres modernes, sciences de l'information et de la communication, FLE), autrice (France Culture, Radio Nova, Joca Seria), Université Sorbonne Paris Nord