N’existe-t-il pas des capacités spécifiquement humaines qui nous rendent irremplaçables, nous mettant à l’abri de la concurrence de l’intelligence artificielle ?
Dans le film Transcendance, de Wally Pfister, sorti en 2014, le héros mourant transfère son esprit dans un ordinateur quantique.
Wally Pfister, 2014
Comment les machines comptent-elles le temps qui passe ? Y a-t-il des limites à leur rapidité de calcul ? Dans quelle mesure de tels systèmes acquièrent-ils la notion du temps ?
En 2020, l’industrie mondiale des semi-conducteurs représentait 439 milliards de dollars, contre 314 milliards il y a 10 ans.
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Les ordinateurs et les robots sont aujourd’hui dotés de compétences sociales leur permettant de converser avec nous en se montrant capables d’exprimer des émotions.
Seulement 15 % des entreprises manufacturières ont un investissement immatériel non nul chaque année et près de 40 % de cet investissement est réalisé par les grandes entreprises.
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Les chefs d’entreprise français revoient à la baisse des projets pourtant indispensables à la transition numérique et énergétique, au risque de perdre encore plus en compétitivité.
Il est peut-être plus facile de construire des machines qui nous ignorent que des machines qui nous ressemblent.
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Dans ce scénario, toutes les étapes de la production à la distribution seraient assurées par des systèmes autogérés. Une voie plus plausible que le transhumanisme.
Pour l’heure, rien ne peut mieux se mettre au diapason d’un être humain qu’un autre être humain.
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La technologie n’est pas encore prête à produire le niveau de service que peut assurer un humain, même si le consommateur ne mesure pas la valeur ajoutée des tâches accomplies.
Un détail de l'affiche du dernier Terminator.
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Certes, l'IA va largement façonner nos économies durant les prochaines décennies. Mais il convient de démêler ce qui relève du fantasme de ce qui nous guette à plus ou moins brève échéance.
Attention à l’utilisation aveugle de l’intelligence artificielle : utilisée comme une « baguette magique », par exemple dans une voiture autonome, elle présente des risques.
Machine de Turing en Lego.
Projet Rubens, ENS Lyon
Rachid Guerraoui, EPFL – École Polytechnique Fédérale de Lausanne – Swiss Federal Institute of Technology in Lausanne
L’informatique est désormais répartie sur des réseaux, grands ou petits. Mais elle les rend parfois incontrôlables. Pour en savoir plus, leçon inaugurale au Collège de France le 24 octobre.
L'interface cerveau-machine: une avancée considérable pour l'humanité.
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Né dans les années 1950, le concept de réseau de neurones artificiels a beaucoup progressé. Aujourd’hui connu sous le nom de « deep learning », il a investi de nombreux domaines, dont celui de la finance.
Plusieurs méthodes permettent d’apprendre à un algorithme à apprendre. Au lieu de nourrir un modèle avec des données, ce sont ces dernières qui le déterminent.
Un paradigme nouveau s’est imposé sur la scène sociale, celui de « l’humain augmenté ». Analyse de ce phénomène à travers la problématique du corps réparé ou/et augmenté par une prothèse.
Capture d’écran du clip-vidéo « All Is Full of Love » de Björk.
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