Les cultures cellulaires semblent prometteuses pour représenter les maladies. La boîte de Petri ne diffère pas autant d’une personne malade que l’on pourrait croire.
Les émotions jouent un rôle clé dans de nombreux types de pensées spontanées. Même les microémotions, souvent éphémères et inconscientes, peuvent affecter les pensées et influencer l’attention.
Les cellules ont de la mémoire… qui pourrait reposer sur des protéines particulières : les « mnemons ». Ce mécanisme, identifié chez la levure, pourrait expliquer des maladies neurodégénératives.
À travers une série d’articles, nos auteurs reviennent sur les fantasmes qui entourent l’amélioration de nos capacités cognitives. On ne peut (pas) encore faire n’importe quoi avec notre cerveau.
Les interfaces cerveau-machine visent aujourd'hui à réparer les corps. Mais demain ? Que penser des produits tels que ceux développés par Neuralink, la start-up cofondée par Elon Musk ?
Nous avons tous déjà eu cette expérience : lire un livre, balayer les phrases des yeux, pour réaliser, au bas de la page que l’on n’a absolument rien retenu. Que se passe-t-il dans notre cerveau ?
À l’adolescence, certains jeunes développent des comportements qui les rendent susceptibles à l’alcoolisme. Un risque qui dépend de facteurs psychologiques, génétiques et épigénétiques.
C’est vrai ça ! dès que je veux soulever un orteil, hop il se soulève, et presque instantanément en plus ! pourtant le cerveau est bien loin des orteils !
Roberto Morandotti, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
De nouveaux dispositifs intelligents exploitent les propriétés de la lumière pour atteindre des performances extrêmement élevées, avec une empreinte environnementale réduite.
Les réseaux de neurones qui sous-tendent l’intelligence artificielle s’inspirent du fonctionnement de notre cerveau. Deux approches compatibles et complémentaires font évoluer l’IA.
Ivan Maksymov et ses collègues ont reçu un IgNobel pour les recherches sur les ondes ultrasonores et leur potentiel pour interfacer cerveaux et ordinateurs de façon non invasive.
On a longtemps pensé que le cerveau adulte n’était plus capable de réorganiser ses connexions nerveuses, qu’il ne pouvait plus changer. La réalité est bien différente.
Le contrôle du trafic dans le cerveau est capital : plus l’information y transite rapidement, plus ses différentes zones coopèrent pour permettre le bon fonctionnement de la mémoire, entre autres.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Professeur des Universités en Physiologie de l'Exercice / Neurosciences Intégratives, Directeur Unité Recherche EuroMov Digital Health in Motion, Université de Montpellier
Directeure de Recherche, Equipe ImpAct, Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon, CNRS, Université Claude Bernard Lyon 1, Université Jean Monnet, Inserm
Directeur de l'unité Neuropsychologie et imagerie de la mémoire humaine, Inserm, Ecole Pratique des Hautes Etudes, Université de Caen Normandie, Université de Caen Normandie