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Articles on présidentielle 2017

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A Paris, le 28 avril 2017. Philippe Lopez/AFP

Présidentielle : la haine

Les dérives de l’irresponsabilité, de la haine et de la jouissance destructive et autodestructive sont le fait d’une société qui perd son principe d’unité.
François Fillon (ici le 23 avril), éliminé au premier tour, contrairement aux « prédictions » de Filteris. Christophe Archambault/AFP

« Mieux que les sondages », ou les menues escroqueries intellectuelles de Filteris

Afin de sauver le candidat Fillon, les sondages d’intention de vote ont été dénigrés et de pseudo métriques ont été artificiellement valorisées pour faire advenir une réalité que le scrutin a démentie.
Arnaud Montebourg visitant un Fab Lab toulousain durant sa campagne le 7 octobre 2016 (partagé sur son compte Facebook).

La politique ne se fait pas à la corbeille. Doit-elle se faire dans les tiers-lieux ?

Du rôle des tiers-lieux d’entrepreneuriat et d’innovation (espaces de coworking, makerspaces, fab labs, hackerspaces…) dans l’action politique, en particulier la campagne présidentielle 2017.
Emmanuel Macron (ici à Garches, le 25 avril), est arrivé en tête au premier tour. Comme le prédisaient les sondages. Philippe Wojazer/AFP

Pour une critique de la critique des sondages

Le procès fait aux sondages est un mélange détonnant d’arguments fondés, de fantasmes, de mauvaise foi crasse et d’ignorance de la réalité du travail des sondeurs.
François Fillon à son QG de campagne, à Paris, le 23 avril 2017. Christophe Archambault/AFP

Après l’échec de la droite, les scénarios de la recomposition

Comment la droite de gouvernement a-t-elle pu en arriver là perdre une élection jugée « imperdable », le désaveu du quinquennat socialiste dans l’opinion laissant augurer une alternance « naturelle » ?
Quels seront les impacts des élections françaises sur la place de la France dans le monde ? Guillaime Souvant, Eric Feferberg / AFP

La victoire des candidats « anti-système » vue de l’étranger

Le premier tour du scrutin présidentiel en France a suscité un vif intérêt à l’étranger. Analyses en provenance de Turquie, d’Inde et d’Italie.
Des partisans de Marine Le Pen à Hénin-Beaumont, au soir du premier tour, le 23 avril 2017. Joël Saget / AFP

Macron–Le Pen, deux France dans le monde

Pour la première fois peut-être dans une élection présidentielle, la façon dont les candidats voient l’inscription de la France dans le monde pourrait être la variable déterminante à l’heure du choix.
Emmanuel Macron, sorti en tête au soir du premier tour de l'élection présidentielle. Eric Feferberg/AFP

Une France pliée en quatre mais qui ne fait pas rire

Notre système politique sort du premier tour éreinté et profondément divisé. Les positions combinées de chacun face à quatre clivages expliquent le vote mais ne favoriseront pas la gouvernance du pays.
Les candidats se réclamant d'une façon ou d'une autre du populisme totalisent près de 50 % des voix. Joël Saget et Bertrand Guay / AFP

Et le vainqueur est… le populisme

La vague de fond de cette élection présidentielle est l’installation du populisme dans la vie politique : les candidats s’en inspirant réunissent globalement la moitié de l’électorat.
Dans un meeting de campagne, le 31 mars. Face à un monde de plus en plus complexe, les citoyens ont tendance à choisir comme leaders les personnes exprimant les jugements les plus péremptoires. Anne-Christine Poujoulat/AFP

Economique, sociale, identitaire ? La vraie nature de la crise : une crise de « stupidité » !

Les candidats à la présidentielle proposent des solutions simplistes et privilégient l’action sur la réflexion. Ils cèdent à la « stupidité », une culture qui se diffuse dans la société actuelle.

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