Augmentant les risques de cancer et de maladies cardiovasculaires, la consommation de charcuterie fait aussi s’élever le risque de maladies respiratoires chroniques.
Consommer trop de protéines animales accroit les risques de développer un large éventail de maladies chroniques en raison des acides aminés contenus dans la viande, révèle une étude.
Les médias véhiculent des représentations exotiques et sensationnalistes des marchés aux animaux chinois qui peuvent empêcher d’appréhender correctement les causes d’émergence des nouveaux virus.
À en croire certains, la viande « cultivée » en laboratoire n’aurait que des avantages : fin de la maltraitance animale, préservation de l’environnement… Mais la réalité est moins idyllique.
Le scientifique suédois Magnus Soderlund a récemment questionné les freins symboliques, économiques et sanitaires qui entourent le cannibalisme : décryptage.
En octobre, un article scientifique concluant qu’il n’est pas nécessaire de limiter sa consommation de viandes rouges ou transformées a déclenché un tollé. Décryptage d’une polémique inutile.
Une politique nutritionnelle universelle n’a pas plus de sens que de calculer la pointure moyenne d’une population et de recommander que tout le monde porte cette pointure.
Les exportateurs canadiens de bœuf et de porc dépendent de plus en plus de la Chine. C'est pourquoi le différend diplomatique entre les deux pays est si inquiétant pour le secteur agroalimentaire.
Dans le dernier numéro de « PuMS », Boris Hansel et son équipe démêlent le vrai du faux à propos du cholestérol, en s’appuyant sur les dernières découvertes scientifiques.
Proposer un burger végétal dont l’apparence, le goût et l’odeur ressemblent à s’y méprendre à du bœuf, tel est le défi qu’entend relever la start-up Impossible Foods.
De nombreuses start-up se lancent à l’assaut de la « viande in vitro », et les investisseurs se jettent dessus. Une industrie qui pourrait révolutionner le monde de la viande… mais à quel prix ?
Les enjeux environnementaux nous invitent à changer nos habitudes alimentaires, et notamment notre consommation de viande. Dans quelle mesure les consommateurs sont-ils prêts à y renoncer ?
L’après-viande est déjà là, mais tout le monde ne veut pas forcément manger du soja, des insectes, des vers ou de la spiruline. Trois chercheurs sondent l’avenir des protéines que nous avalons.
Si la biodiversité est menacée en Europe, des changements dans les mentalités et les modes de consommation ainsi que de nouveaux usages des terres agricoles aident à rester optimistes.
Nos habitudes alimentaires doivent s’adapter aux réalités environnementales et démographiques. Mais mettre de côté notre héritage alimentaire constitue une grave erreur.
Malgré son ancrage profond dans la culture française, les enjeux environnementaux et sanitaires autour de la viande affectent sensiblement sa consommation en France.
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)
Chercheur en biochimie, responsable du laboratoire « Stress oxydant et détoxication », Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)