Pop conso-philo
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L’objet est finalement le grand oublié de la société de consommation. Alors qu’il est omniprésent dans la vie de chacun, les travaux d’envergure sur l’objet se comptent sur les doigts d’une main.
N’importe quel objet marchand peut devenir sacré pour son possesseur parce que la sacralisation résulte essentiellement d’un processus d’investissement émotionnel. Jusqu’à des « émeutes Nutella » ?
Lafarge-Holcim, déjà montré du doigt pour avoir payé la taxe Daech en Syrie, se dit prêt à fournir le ciment pour le mur de Donald Trump. Réflexion sur l’étique des affaires d’une marque mondiale.
L’automobile était un objet de désir, lié à la possibilité d’une ascension sociale ; elle n’est plus aujourd’hui qu’une contrainte, pour les familles, inesthétique et polluante. Place au smartphone.
En partant d'une publicité pour parfumerie, exploration des contours et des faux semblants de l'individualisme, fiction fabriquée par la société de consommation.
On entend souvent dire que les hommes politiques sont des marques. Voici pourquoi ce n’est pas vrai. Et pourquoi le marketing de la demande politique a tout gâché.
Peut-on faire signe de tout… et de rien ? Peut-on tout événementialiser ? Réflexion autour des logos des candidats aux JO, à la lumière des leçons du Barthes de « L’Empire des Signes ».
Neil Young en concert avec « Promise of the Real » (promesse du réel) : le rocker nous expose à une trouvaille majeure de notre société, à savoir que le réel se serait comme absenté ou évanoui.
Chaque année les diocèses rivalisent de créativité pour appeler au denier du culte. Et si l’Église avait inventé le marketing ? Retour sur les thèses de l’ouvrage « Jésus lave plus blanc ».
De la thématique du bonheur, la marque la plus connue au monde s’est affranchie. Elle se recentre sur le produit et une consommation plus solitaire. Décryptage.