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Artículos sobre abeilles

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Certaines espèces de fourmis et de plantes vivent en parfaite harmonie. Alena Novik/Shutterstock

Les animaux et les plantes peuvent-ils s’entraider ?

Plantes et animaux peuvent coopérer. C’est le cas de certaines fourmis qui, en échange de nourriture, vont protéger la plante contre les herbivores.
Afin de limiter au minimum ses dépenses, l’abeille séléctionne les espèces qu’elle butine, en se concentrant par exemple sur une certaine couleur, une certaine odeur et une certaine forme de fleurs, dont elle assurera la fécondation. Jenna Lee sur Unsplash

Biomimétisme : retour sur Amelios, un dispositif économique inspiré de la pollinisation des abeilles

Testé à Senlis, ce système tend à valoriser, à l’échelle d’un territoire, les actions de coopération et d’épargne d’énergie menées par ses membres, avec une monnaie indexée sur l’état de la nature.
Les abeilles sauvages (ici un bourdon des pierres) sont bien plus diversifiées que les abeilles domestiquées. Moins connues, elles sont moins protégées. Alex Cooper Photography/Shutterstock

Quand l’alimentation des abeilles sauvages raconte les modifications de leur environnement

Les abeilles ont un capital sympathie important… mais on oublie leurs consœurs sauvages ! Primordiales pour l’environnement, elles sont tout aussi menacées. Une méconnaissance préjudiciable.
En apprenant à d’autres espèces animales à distinguer les nombres pairs et impairs et à effectuer d’autres opérations mathématiques abstraites, nous pouvons en apprendre davantage sur la façon dont les mathématiques et la pensée abstraite sont apparues chez les humains. (Shutterstock)

Après les humains, les abeilles sont les seuls animaux capables de faire la différence entre les nombres pairs et impairs

Avec leur cerveau miniature de 960 000 neurones (contre 86 milliards chez l’homme), les abeilles ont réussi à comprendre les concepts d’impairs et de pairs.
Les tournesols sont plus colorés pour les pollinisateurs, qui voient dans l’ultraviolet, que pour nous. (Unsplash/Marco de Hevia)

Les tournesols ont des motifs imperceptibles qui attirent les pollinisateurs

Les tournesols ont des motifs cachés de couleurs ultraviolettes. Visibles par les pollinisateurs, ces couleurs sont dues à la présence de pigments qui aident également les plantes à retenir l’humidité.
Les nouvelles technologies pourraient aider les apiculteurs à mieux gérer leurs ruchers. Nicolas Vigier/flickr

L’apiculture dirigée par les données et les modèles

L’utilisation de capteurs connectés couplés à des modèles informatiques peut permettre de suivre l’activité d’un rucher, donnant ainsi de précieuses indications aux apiculteurs.
Une feuille de betterave, infectée par le virus de la jaunisse de la betterave, est photographiée dans une exploitation betteravière à Oye-Plage, dans le nord de la France, le 4 août 2020. Denis Charlet / AFP

Néonicotinoïdes, un débat qui réduit la nature à sa valeur financière

De part et d’autre, les arguments sont centrés sur la question des pertes et bénéfices liés à l’usage ou non de ces insecticides. Mais les modèles sociétaux défendus sont radicalement opposés.
Seules les abeilles femelles peuvent piquer. Serafima Antipova / Shutterstock

Pénélope : « Les abeilles sont-elles conscientes qu’elles vont mourir si elles piquent ? »

Saviez-vous que seules les femelles peuvent piquer ? S’il est difficile de déterminer si les abeilles ont une conscience, il est possible d’expliquer pourquoi elles attaquent au péril de leur vie.
Le Psithyre vestale (Bombus vestalis), qui butine ici un chardon-marie dans le parc de Belleville (XXe arrondissement de Paris), est un bourdon « coucou » : un intrus qui s’installe dans le nid du bourdon terrestre. Vincent Zaninotto

À Paris, le retour des pollinisateurs sauvages

Les confinements ont réaffirmé la place des insectes pollinisateurs sauvages dans la capitale.
Les abeilles parcourent l’équivalent d’un tour du monde et visitent cinq millions de fleurs pour produire un seul pot de miel. Pixabay

Le commerce du miel et des abeilles, entre fables et réalités

Des ruches qui voyagent en camion, des abeilles rémunérées pour leur service de pollinisation, des miels frelatés, des théories économiques fondées sur une organisation sociale imaginaire…
Les abeilles produisent des alvéoles d'une forme “parfaite”. CRStocker / Shutterstock

Pourquoi les abeilles sont bonnes en maths

Les abeilles sont de remarquables mathématiciennes. Plus précisément, ce sont d’admirables géomètres et d’économes maçons !

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