Héritant de quelques traits de Saint-Nicolas et du folklore américain, le père Noël inventé par Tolkien pour ses enfants préfigure aussi le monde des Hobbits. Un classique pour attendre les fêtes.
À l’occasion de l’exposition que la Bibliothèque nationale de France consacre à Tolkien, retour sur deux conceptions du merveilleux et de l’enfance contemporaines, et pourtant très différentes.
Comment s’explique l’essor des biopics, alors que de nombreux critiques soulignent qu’ils font rarement de grands films en raison de leur académisme ou de leur prévisibilité ?
De « Tobie Lolness » à « La Cité des livres qui rêvent », en passant par « Sauveur et fils » ou l’incontournable « Harry Potter », revue de quelques titres conjuguant suspense et qualité littéraire.
Les programmes de 2018 ont réduit la place de la littérature de jeunesse dans les cours de français. Une évolution regrettable vu la richesse de ces œuvres qui peuvent donner le goût de lire.
Les voyages sont légion dans les œuvres mythologiques des musées de la région des Hauts-de-France. Que sont Enée, Ulysse ou Hercule sinon des voyageurs, des migrants ?
Tamolia ancalogon, Acledra nazgul… L’univers de JRR Tolkien inspire les scientifiques quand il s’agit de baptiser de « nouvelles espèces ». Pourquoi un tel engouement ?
Les phénomènes de mode littéraires et cinématographiques sont aussi le reflet des préoccupations sociales, à travers l’exemple de la portée écologique de l’imaginaire féerique.