Des vidéos de l’attaque du Capitole le 6 janvier 2021 sont projetées lors d’une session de la commission d’enquête spéciale chargée d’établir les faits, le 27 juillet 2021 à Washington. L’enquête pourrait notamment aboutir à l’inculpation de Donald Trump pour incitation à l’insurrection.
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Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Donald Trump et ses soutiens entendent bien employer tous les moyens à leur disposition pour récupérer le pouvoir, notamment si le verdict des urnes en 2024 ne leur sourit pas.
Le 6 janvier 2021, les partisans de Donald Trump ont pris le Capitole d’assaut. Un an plus tard, ils restent encore nombreux à rejeter l’élection de Joe Biden.
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Avec le recul, l’assaut lancé contre le Capitole le 6 janvier 2021 peut apparaître comme le signal d’un basculement sans retour de la démocratie américaine.
Boris Johnson, le premier ministre britannique, et Scott Morrison, son homologue australien, se saluent à l’occasion de la COP26. Glasgow, le 1er novembre 2021.
Christopher Furlong/AFP
Les analyses s’intéressant à l’alliance AUKUS se sont concentrées sur l’Australie et les États-Unis, négligeant le Royaume-Uni, qui pourrait en fait en être le principal bénéficiaire.
Tsai Ing-wen, la présidente taïwanaise, durant une cérémonie tenue le 18 novembre 2021 à l’occasion de la mise en service d’une version améliorée du F-16 américain à la base militaire de Chiayi, dans le sud de l’île.
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Joe Biden n’a pas encore réussi à faire voter tous ses grands plans d’investissement, les blocages venant notamment de son propre camp. Un problème urgent : les élections de mi-mandat se rapprochent.
Trump/Biden, même combat ? C’est ce que pourraient penser la France et les autres alliés de l’Amérique…
Jim Watson, Angela Weiss/AFP
Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Le retrait d’Afghanistan et le pacte AUKUS incitent la France et les autres alliés des États-Unis à se demander si la politique étrangère de Joe Biden est vraiment différente de celle de Donald Trump.
Des restes fumants des tours jumelles à New York, le 11 septembre 2001. Le large consensus antiterroriste aux États-Unis qui a suivi les attentats s'est peu à peu effiloché.
(AP Photo/Alexandre Fuchs)
Vingt ans après le 11 septembre, la crise sanitaire, le retour des tensions géopolitiques et l’urgence climatique font en sorte que le terrorisme islamiste est devenu une menace parmi d’autres.
L’ambassadeur de France en Afghanistan, David Martinon (à gauche), attend avec des ressortissants français et afghans de monter à bord d’un avion de transport militaire français à l’aéroport de Kaboul, le 17 août 2021, pour être évacué du pays après la victoire éclair des talibans.
AFP
Le fiasco afghan des États-Unis semble signer la fin de l’époque des interventions extérieures coûteuses sur des théâtres lointains.
Depuis son élection, Joe Biden, photographié ici dans le Bureau ovale le 2 février 2021, doit faire face à un parti républicain combatif, qui compte bien gagner les élections de mi-mandat en novembre 2022 et, pour cela, attise volontiers la défiance de ses électeurs à l’égard de l’administration démocrate.
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Joe Biden a mis en branle un ambitieux plan de relance qui vise à remettre l’économie sur les rails. La tâche consistant à réconcilier ses concitoyens sera peut-être encore plus compliquée…
Des miliciens rejoignent les forces de sécurité afghanes lors d'un rassemblement à Kaboul, le mois dernier. Ensemble, ils tentent d'endiguer la progression inexorable des talibans sur le territoire national.
Rahmat Gul/AP
Le sentiment que les talibans pourraient reprendre le contrôle à l’aune du retrait des forces américaines fait craindre une vague de défections dans le gouvernement et l’armée.
Panneau routier dirigeant la circulation vers l’entrée de l’installation d’arrivée de lu gazoduc Nord Stream 2 à Lubmin, dans le nord-est de l’Allemagne.
Odd Andersen/AFP
Sophie Marineau, Université catholique de Louvain (UCLouvain)
En renonçant aux sanctions édictées contre le gazoduc Nord Stream 2, cher à la Russie et à l’Allemagne, les États-Unis ouvrent la voie à la mise en exploitation de ce projet controversé.
Joe Biden salue Bernie Sanders, sous les yeux du président de la Cour suprême John Roberts, avant une session du Congrès à Washington, le 28 avril 2021.
Andrew Harnik/AFP
Nicolas Gachon, Université Paul Valéry – Montpellier III
Avec l’ambitieuse relance économique de Joe Biden, le Parti démocrate semble revenir à ses principes d’avant le tournant vers le centre droit enclenché sous Bill Clinton il y a trente ans.
L'enlisement du conflit yéménite est une des raisons qui font passer la normalisation avec Israël au second plan pour l'Arabie saoudite, au profit d'un apaisement avec l'Iran. Ici, un panneau représente les dirigeants saoudiens et émiratis côte à côte, dans la ville portuaire yéménite d'Aden, en 2019.
Saleh al-Obeidi/AFP
Une sortie de crise entre l’Arabie saoudite et l’Iran semble amorcée, la dernière guerre de Gaza ayant remis en cause le grand projet de normalisation avec Israël, auparavant soutenu par Riyad.
Lors de leur rencontre à Genève ce 16 juin, Joe Biden a fourni à Vladimir Poutine une liste de seize secteurs contre lesquels toute cyberattaque devrait être interdite à l’avenir.
Brendan Smialowski/AFP
Sophie Marineau, Université catholique de Louvain (UCLouvain)
La Russie est souvent accusée d’être derrière les cyberattaques visant des entreprises et des infrastructures américaines. Ce sujet a été l’un des grands thèmes de la récente rencontre Biden-Poutine.
Réunis à Londres, les ministres des Finances du G7 ont franchi, selon Bruno Le Maire (2e en partant de la gauche), « une étape historique qui peut remplir la France de fierté ».
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Assiette, exceptions, coordination internationale, négociations européennes… De nombreux points restent à trancher avant de concrétiser le projet entériné par les grandes puissances début juin.
Washington engage une somme équivalente à 13 % du PIB du pays pour relancer l’économie américaine.
Nicholas Kamm / AFP
Laurent Ferrara, SKEMA Business School y Daniele Siena, Università Cattolica del Sacro Cuore - Catholic University of Milan
Importations, endettement, rebond du dollar… Le « moment keynésien » dans lequel s’engagent les États-Unis du président Joe Biden ne restera pas sans effet au-delà des frontières du pays.
Des partisans de Donald Trump contestent l'élection de Joe Biden face au Capitole, à Washington, le 6 janvier 2021.
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Réflexions sur l'état actuel de la démocratie américaine, après quatre ans de mandat tumultueux de Donald Trump et l'élection contestée de Joe Biden.
Les États-Unis et la France ont rejoint début mai la liste des pays qui demandent à exclure temporairement les vaccins contre la Covid-19 des règles en vigueur.
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La suspension temporaire de la propriété intellectuelle réclamée par Washington et Paris entraînerait une longue réorganisation de la production incompatible avec l’urgence qu’exige la pandémie.
Kamala Harris prend la parole après avoir visité un site de vaccination contre la Covid-19 au M&T Bank Stadium de Baltimore, dans le Maryland, le 29 avril 2021.
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Le rôle central que Kamala Harris, vice-présidente des États-Unis depuis cent jours, joue dans l’administration Biden montre que sa nomination ne se limite absolument pas à sa dimension symbolique.
Sit-in au Capitole de la Géorgie, à Atlanta, le 8 mars 2021.
Megan Varner/Getty Images North America / Getty Images via AFP
Une loi électorale controversée vient d’être adoptée en Géorgie. Les débats qui l’entourent reflètent le combat acharné que se livrent les deux grands partis pour peser sur les procédures de vote.
Professeure de management stratégique, directrice des programmes du MSc Arts & Creative Industries Management à Paris et de la partie française de l'Institut Franco-Chinois de Management des Arts et du Design à Shanghai, Kedge Business School