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Artículos sobre Marine Le Pen

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François Fillon et Laurent Wauquiez au pied de la statue de la Vierge au Puy-en-Velay, en avril 2017. Thierry Zoccolan/AFP

Un catholicisme otage de la campagne présidentielle

Depuis le premier tour, le débat sur le report des voix fait rage au sein du catholicisme français dont les lignes de fractures se multiplient. « Le » vote catholique n’est-il pas une chimère ?
Le 1er mai, Jean-Luc Mélenchon participe à la cérémonie à la mémoire de Brahim Bouarram, qui avait été poussé dans la Seine par des militants d'extrême-droite après une manifestation du Front National. Thomas SAMSON / AFP

L’in(sou)tenable légèreté de l’Insoumis

À la veille du second tour de l’élection présidentielle, Jean‑Luc Mélenchon adopte une position ambiguë vis-à-vis du Front national. Une stratégie dangereuse pour lui comme pour son mouvement.
A Paris, le 28 avril 2017. Philippe Lopez/AFP

Présidentielle : la haine

Les dérives de l’irresponsabilité, de la haine et de la jouissance destructive et autodestructive sont le fait d’une société qui perd son principe d’unité.
François Fillon (ici le 23 avril), éliminé au premier tour, contrairement aux « prédictions » de Filteris. Christophe Archambault/AFP

« Mieux que les sondages », ou les menues escroqueries intellectuelles de Filteris

Afin de sauver le candidat Fillon, les sondages d’intention de vote ont été dénigrés et de pseudo métriques ont été artificiellement valorisées pour faire advenir une réalité que le scrutin a démentie.
Emmanuel Macron (ici à Garches, le 25 avril), est arrivé en tête au premier tour. Comme le prédisaient les sondages. Philippe Wojazer/AFP

Pour une critique de la critique des sondages

Le procès fait aux sondages est un mélange détonnant d’arguments fondés, de fantasmes, de mauvaise foi crasse et d’ignorance de la réalité du travail des sondeurs.
Quels seront les impacts des élections françaises sur la place de la France dans le monde ? Guillaime Souvant, Eric Feferberg / AFP

La victoire des candidats « anti-système » vue de l’étranger

Le premier tour du scrutin présidentiel en France a suscité un vif intérêt à l’étranger. Analyses en provenance de Turquie, d’Inde et d’Italie.
Des partisans de Marine Le Pen à Hénin-Beaumont, au soir du premier tour, le 23 avril 2017. Joël Saget / AFP

Macron–Le Pen, deux France dans le monde

Pour la première fois peut-être dans une élection présidentielle, la façon dont les candidats voient l’inscription de la France dans le monde pourrait être la variable déterminante à l’heure du choix.
Emmanuel Macron, sorti en tête au soir du premier tour de l'élection présidentielle. Eric Feferberg/AFP

Une France pliée en quatre mais qui ne fait pas rire

Notre système politique sort du premier tour éreinté et profondément divisé. Les positions combinées de chacun face à quatre clivages expliquent le vote mais ne favoriseront pas la gouvernance du pays.
Les candidats se réclamant d'une façon ou d'une autre du populisme totalisent près de 50 % des voix. Joël Saget et Bertrand Guay / AFP

Et le vainqueur est… le populisme

La vague de fond de cette élection présidentielle est l’installation du populisme dans la vie politique : les candidats s’en inspirant réunissent globalement la moitié de l’électorat.
Le 13 avril 2017, en Pologne: cérémonie d'accueil d'un bataillon de l'armée américaine déployée sur le flanc oriental de l'Alliance. Wojtek Radwanski/AFP

L’OTAN dans la ligne de mire des candidats à la présidentielle

S’il est difficile de savoir quel candidat sera sélectionné pour le second tour de la présidentielle, il est probable que les deux élus ne soient pas de chauds partisans de l’Alliance atlantique.

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