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Artículos sobre politique étrangère américaine

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Des femmes irakiennes se rassemblent sur la place Tahrir de Bagdad le 25 janvier 2023 pour demander une amnistie générale pour leurs parents masculins emprisonnés et condamnés à mort pour des attaques contre les troupes américaines après le renversement de Saddam Hussein en 2003 et pour découvrir où se trouvent leurs proches disparus au cours des années de conflit sectaire sanglant qui ont balayé le pays après la chute du dictateur. Ahmad Al-Rubaye/AFP

Vingt ans après l’invasion américaine, l’Irak peut-il enfin connaître une paix durable ?

Vingt ans après l’offensive américaine, l’Irak demeure un État instable traversé par de fortes tensions.
La réconciliation irano-saoudienne a été annoncée depuis Pékin, offrant à la Chine un succès diplomatique incontestable. motioncenter/Shutterstock

Iran–Arabie saoudite : un compromis diplomatique sous l’égide de Pékin

Sept ans durant, Riyad et Téhéran se sont regardés en chiens de faïence. Le rétablissement de leurs relations diplomatiques, officialisé à Pékin, aura de nombreux effets dans la région.
Rassemblement devant l’ancienne ambassade des États-Unis à Téhéran, le 4 novembre 2022, pour marquer le 43e anniversaire du début de la crise des otages en Iran, dont des photos sont affichées derrière les manifestantes. Atta Kenare/AFP

Pourquoi l’Iran se méfie-t-il autant des puissances étrangères ?

Du Grand jeu du XIXᵉ siècle aux ingérences américaines tout au long du XXᵉ et jusqu’au retrait de Donad Trump de l’accord sur le nucléaire en 2015, l’Iran s’est souvent senti dupé par les Occidentaux.
Mohammad Eslami, directeur de l'Organisation de l'énergie atomique dans le gouvernement d'Ebrahim Raïssi, s'exprime lors de la conférence générale de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) au siège de l'agence à Vienne, le 26 septembre 2022. Joe Klamar/AFP

Comment la guerre en Ukraine bloque un accord sur le nucléaire iranien

Le régime iranien est contesté à l’intérieur et fragilisé par les difficultés que rencontre en Ukraine son allié russe. Les Occidentaux aimeraient en profiter dans les négociations sur le nucléaire…
Des soldats de l’armée taïwanaise lors d’un exercice de tir réel anti-débarquement dans le sud de Taïwan, le 9 août 2022. Sam Yeh/AFP

Taïwan : la stratégie indo-pacifique des États-Unis à l’épreuve

La récente montée des tensions entre la Chine et le duo américano-taïwanais contraint Washington à repenser sa stratégie régionale, qui vise à maintenir un équilibre de plus en plus précaire…
Ayman al-Zawahiri dirigeait Al-Qaïda depuis la mort d’Oussama ben Laden le 2 mai 2011. AFP

Après l’élimination d’Ayman al-Zawahiri, Al-Qaïda représente-t-elle toujours une menace ?

L’élimination de celui qui en était le chef depuis onze ans porte sans doute un rude coup à Al-Qaïda, mais d’autres groupes djihadistes pourraient profiter de la nouvelle donne.
Joe Biden à l’aéroport de Djeddah le 16 juillet 2022. Mandel Ngan/AFP

Joe Biden à Riyad : les leçons d’un échec

Le président américain s’est résolu à se rendre à Riyad dans l’espoir d’obtenir des avancées sur les questions énergétiques et sécuritaires. Sans succès.
Joe Biden le 17 juin 2022, lors d'un sommet virtuel réunissant les principales économies de la planète, qui tente de s'attaquer au changement climatique au moment où les retombées de l'invasion de l'Ukraine par la Russie soulignent la dépendance du monde à l'égard des combustibles fossiles. Mandel Ngan/AFP

Climat : pourquoi Joe Biden aura beaucoup de mal à tenir ses promesses

Les ambitieux projets de Joe Biden en matière de lutte contre le changement climatique se heurtent à un contexte international délicat et à l’hostilité de l’opposition républicaine.
Le 6 avril 2022 à Washington, Elaine Luria, vice-présidente démocrate de la commission des questions militaires de la Chambre des représentants, annonce que la commission invite l’administration Biden à ne pas lever les sanctions visant l’Iran avant d’avoir la garantie que ce pays a abandonné son programme nucléaire militaire. Kevin Dietsch/Getty Images via AFP

Pourquoi l’administration Biden peine autant à rendre vie à l’accord sur le nucléaire iranien

Joe Biden avait promis de revenir au « deal » sur le nucléaire iranien dont Donald Trump avait retiré Washington en 2018. Un an et demi après son élection, ce n’est toujours pas le cas.
Les trumpistes attribuent à Vladimir Poutine des qualités similaires à celles de Donald Trump : détermination, virilité, attachement aux valeurs traditionnelles et rejet des « inepties gauchistes »… Kirill Kudryavtsev/AFP

Le poutinisme à toute épreuve de Donald Trump et de ses partisans

Au sein du camp républicain, Donald Trump conserve une influence majeure. Comme durant son mandat, et malgré la guerre en Ukraine, il se montre très compréhensif vis-à-vis de Vladimir Poutine…
Le ministre des Affaires étrangères des Émirats arabes unis, Abdullah ben Zayed Al Nahyane, s’est rendu à Moscou le 17 mars, alors que la guerre en Ukraine faisait rage depuis trois semaines, pour rencontrer son homologue russe Sergueï Lavrov. Evgenia Novozhenina/AFP

Comment la guerre en Ukraine fait bouger les lignes dans le Golfe

L’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, alliés de longue date de Washington, ne s’empressent guère de suivre les pays occidentaux dans leur volonté d’isoler la Russie.
Le négociateur en chef du nucléaire iranien, Ali Bagheri Kani, à sa sortie du Palais Coburg (Vienne), où se déroulent les négociations visant à relancer l’accord sur le nucléaire iranien, le 27 décembre 2021. Alex Halada/AFP

Nucléaire iranien : accord en vue ?

Presque quatre ans après la sortie des États-Unis de l’accord sur le nucléaire iranien, ce texte pourrait entrer de nouveau en vigueur dans les tout prochains jours.
Vladimir Poutine, ici lors de la conférence de presse consécutive à son entrevue avec Emmanuel Macron à Moscou, le 7 février 20222, souligne régulièrement l'humiliation qu'a représentée pour la Russie l'extension vers l'Est de l'OTAN. Thibault Camus/AFP

« Nous avons été humiliés » : le discours du Kremlin sur les années 1990 et la crise russo-ukrainienne

Lorsqu’on analyse la politique étrangère russe d’aujourd’hui, il ne faut pas sous-estimer le poids du traumatisme qu’a constitué, pour Moscou, son éviction de son étranger proche dans les années 1990.
Boris Johnson, le premier ministre britannique, et Scott Morrison, son homologue australien, se saluent à l’occasion de la COP26. Glasgow, le 1er novembre 2021. Christopher Furlong/AFP

Pourquoi AUKUS bénéficie avant tout au Royaume-Uni

Les analyses s’intéressant à l’alliance AUKUS se sont concentrées sur l’Australie et les États-Unis, négligeant le Royaume-Uni, qui pourrait en fait en être le principal bénéficiaire.
Un marin français observant l’horizon sous le nez d’un Rafale durant l’exercice « Gallic Strike » conjoint avec le Royaume-Uni. Toulon, le 3 juin 2021. Christophe Simon/AFP

Ventes d’armes : la France résiste à l’hégémonie américaine

Visant l’hégémonie dans le commerce des armes, les États-Unis utilisent des stratégies très agressives, notamment vis-à-vis du concurrent français.
Pour financer ses équipements militaires de pointe, comme ici ses sous-marins nucléaires d'attaque (SNA), la France a besoin des débouchés que constitue la vente d'armes à l'étranger. Ici, lancement officiel des Suffren, à Cherbourg le 12 juillet 2017. Ludovic Marin/AFP

Sous-marins australiens : le modèle français d’exportation d’armes en question

La rupture par l’Australie du contrat français au profit d’AUKUS témoigne du modèle d’exportation d’armes américain : à l’inverse de la France, les É.-U. ne sont pas dépendants de leurs ventes.
L'emprise du pouvoir chinois lui a permis de faire face à la pandémie, promouvant un modèle à l'opposé des valeurs occidentales. Hector Retamal/AFP

Conversation avec Christophe Gaudin : « Pour la première fois, les démocraties occidentales font face à un modèle autoritaire qui gère une crise mieux qu’elles »

Conversation avec Christophe Gaudin sur les relations entre la Chine et les États-Unis dans le contexte de la crise du Covid-19.
Colin Powell, ici au Pentagone en compagnie du secrétaire d'État à la défense et futur vice-président Dick Cheney en 1989 lors d'une conférence de presse sur l'intervention américaine au Panama, fut à la fois un haut gradé de l'armée multi-décoré et un responsable politique de premier plan au sein de l'administration de George W. Bush. Bob Pearson/AFP

Colin Powell ou la dualité d’un destin américain

Colin Powell, par sa carrière militaire et politique, fut un pionnier pour les Afro-Américains. Mais plus qu’un symbole d’intégration, il était celui de la complexité de l’identité noire américaine.

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