Attachée à sa laïcité, la République française se refuse à créer un enseignement spécifique des traditions religieuses. Qu’en est-il dans le reste de l’Europe ?
Pourquoi Donald Trump porte-t-il cette improbable chevelure jaune « de très mauvais goût », selon quelques coiffeurs réputés ? S’agit-il d’une référence au roi biblique David ?
Le 26 octobre 2016, l’Autorité des Antiquités d’Israël présentait un papyrus vieux de 2700 ans mentionnant la ville de Jérusalem. Quels sont les enjeux d’une telle découverte ?
Rita Hermon-Belot, École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS)
La forte sensibilité de la France face à l’expression religieuse s’explique par son histoire singulière. Le pays a traversé une série de crises avant d’aboutir à la neutralisation de l’espace public.
Que se passe-t-il dans notre société pour qu’on en soit arrivé à considérer qu’un islamophobe patenté mérite de faire la tournée des plateaux télé, y compris sur le service public ?
L’étude de textes issus du magistère catholique fait vaciller l’opposition entre la Bible, témoignage humain susceptible de contenir des erreurs, et le Coran, parole de Dieu dictée sans intermédiaire.
Disparue en 1997, Mère Teresa sera canonisée ce dimanche à Rome. En Inde, où elle a vécu durant cinquante ans, les chrétiens sont en butte à l’hostilité d’une nébuleuse proche du pouvoir.
Rita Hermon-Belot, École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS)
La loi de séparation de l’église et de l’État a permis de garantir la liberté, mais aussi la pluralité religieuse en « neutralisant » un espace public jusqu’alors dominé par l’Église catholique.
Quel est le point commun entre Orphée, Jésus et un certain héros de « Game of Thrones » ? Tous sont revenus du royaume des morts, phénomène religieux et culturel très populaire depuis des millénaires.
Professeur de théologie et histoire des religions à la Luxembourg School of Religion & Society (LSRS), co-directeur de recherche, Collège des Bernardins