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Artículos sobre trumpisme

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Le chef adjoint (whip) de la minorité républicaine au Sénat, John Thune, entouré (de gauche à droite) du chef de la minorité républicaine au Sénat, Mitch McConnell (R-KY), et du sénateur républicain Roy Blunt (R-MO), au Capitole, à Washington, DC., le 2 mars 2021. Samuel Corum/Getty Images North America/Getty Images via AFP

États-Unis : l’avenir du parti républicain, un enjeu de démocratie

Otage de la guerre que se livrent en son sein les pro-Trump et ceux qui veulent se démarquer de l’héritage de l’ex-président, le parti républicain semble voué à sombrer dans une surenchère droitière.
Rassemblement – légal – du National Socialist Movement, l'un des principaux groupes néo-nazis aux États-Unis, le 21 avril 2018, à Draketown, Géorgie. Spencer Platt/AFP

Le culte de la liberté d’expression aux États-Unis

Le Premier amendement de la Constitution des États-Unis protège la liberté d’expression des Américains, à un point tel que même les discours les plus haineux ont droit de cité.
Le 6 janvier 2021 devant le Capitole à Washington, DC. Joseph Prezioso/AFP

Les insurgés du Capitole ne sont pas les « rednecks » que vous croyez

Les insurgés du Capitole et, au-delà, les électeurs de Donald Trump, ne sont pas seulement mus par une angoisse économique mais aussi par la crainte d’un déclassement social, politique et culturel.
La Garde nationale américaine encercle le Capitole une semaine après que des partisans de Donald Trump l'aient prise d'assaut. AP Photo/Andrew Harnick

Les années Trump ont porté un dur coup à la démocratie – voici comment la rebâtir

La démocratie a besoin d’être réformée et ce n’est pas seulement en changeant de dirigeant que l’on y arrivera. Il faut aussi repenser le système qu’il défend.
Campagne présidentielle américaine, le 1er novembre 2020, jeunes supporters assistant à un meeting de Trump en Caroline du Nord. Brendan Smialowski / AFP

Universités : vers un déclin de l’empire américain ?

La pandémie a donné un coup de frein à la mobilité étudiante dans le monde. Les universités américaines en sont bien sûr affectées. Mais elles font face aussi à une baisse des inscriptions nationales.
Le 6 janvier 2021, Donald Trump s'adresse à ses partisans à Washington. Peu après, des milliers d'entre eux entreront de force au Capitole. Brendan Smialowski/AFP

Comment le discours populiste de Donald Trump a conduit à l’insurrection de ses troupes

Le discours que Donald Trump a prononcé le 6 janvier à Washington, et qui a incité ses sympathisants à investir de force le Capitole, constitue un parfait condensé de sa rhétorique populiste.
Donald Trump le 12 janvier 2021 au moment d'embarquer dans Air Force One pour se rendre au Texas afin de superviser la construction du mur qu'il cherche à ériger à la frontière avec le Mexique. Mandel Ngan/AFP

Donald Trump : quel risque pour l’Amérique avant et après le 20 janvier ?

Donald Trump semble bien déterminé à continuer à mobiliser ses troupes. Surtout s’il ne subit aucune conséquence après l’assaut contre le Capitole.
Devant le Capitole à Washington, le 6 janvier 2021. Bill Clark/CQ-Roll Call, Inc via Getty Images

L’assaut du Capitole, manifestation frappante de la fragilité de la démocratie américaine

Techniquement, la prise du Capitole par des partisans de Donald Trump ce 6 janvier n’a pas été un coup d’État. L’événement n’en révèle pas moins la grande fragilité de la démocratie américaine.
Le Capitole, à Washington, DC. Drew Angerer/Getty Images North America/Getty Images via AFP

Bonnes feuilles : « Les États-Unis et la démocratie »

La primauté du droit, principe fondamental, a été remise en question tout au long du mandat de Donald Trump, qui a vu une érosion sans précédent des normes non écrites de la démocratie américaine.
Un participant à une manifestation à Philadelphie, le 6 novembre 2020, porte un masque de Donald Trump et une tenue de prisonnier. Chris McGrath/Getty Images North America/Getty Images via AFP

Donald Trump cerné par les affaires

Le 20 janvier, Donald Trump redeviendra un justiciable comme les autres. D’ici là, va-t-il continuer de gracier ses proches, comme il a déjà commencé de le faire, et peut-il se gracier lui-même ?
Joe Biden lors de son séjour en Russie en tant que vice-président en mars 2011, ici en train de déposer une couronne de fleurs sur la tombe du soldat inconnu, au pied du Kremlin. Alexander Nemenov/AFP

La victoire de Joe Biden vue de Moscou

La Russie de Vladimir Poutine, qui avait activement souhaité la victoire de Donald Trump en 2016, a été plutôt déçue par son mandat et ne voit pas nécessairement son successeur d’un mauvais œil.
Donald Trump n'a toujours pas officiellement reconnu sa défaite et continue d'affirmer que l'élection a été truquée. Brendan Smialowski/AFP

Donald Trump et le scénario du coup d’État

Même si la Constitution américaine confère au président des pouvoirs considérables en matière militaire, les contrepoids sont suffisants pour l’empêcher de conserver le pouvoir par la force.
Le président élu Joe Biden s'apprête à prononcer un discours à Wilmington, Delaware, le 25 novembre 2020. Mark Makela/Getty Images North America/Getty Images via AFP

Conversation avec Marie-Cécile Naves : « Joe Biden hérite d'une Amérique très polarisée »

Réconcilier les Américains, promouvoir les droits des femmes, reprendre le fil d’une politique étrangère que son prédécesseur a profondément marquée : Joe Biden n’aura pas la tâche aisée.
Des partisans de Donald Trump manifestent devant la Cour suprême, à Washington, le 14 novembre 2020. Olivier Douliery/AFP

La légitimité de la Cour suprême américaine à l’épreuve de son conservatisme

Certes, la Cour suprême américaine penche désormais très nettement du côté des conservateurs. Pour autant, elle n’est pas devenue un outil politique à la botte de Donald Trump et du parti républicain.
Joe Biden au Barrio Café, à Phoenix, le 9 octobre 2020. Brendan Smialowski/AFP

L’Arizona, laboratoire et antidote du trumpisme

L’Arizona, bastion républicain, a basculé cette année côté démocrate. L’explication tient largement à la montée en puissance des électeurs latinos, longtemps ciblés par les leaders républicains.
Le 3 novembre, à Atlanta, des sympathisants républicains discutent lors d'une soirée électorale organisée par le parti. Megan Varner / Getty Images North America/Getty Images via AFP

Après la défaite de Donald Trump, que va devenir le Parti républicain ?

Le 3 novembre, Donald Trump a perdu mais le parti républicain a enregistré des résultats satisfaisants à la Chambre des représentants et au Sénat. De bon augure pour l’avenir ?
Joe Biden et sa vice-présidente Kamala Harris auront la lourde tâche d'apaiser une société dont les deux camps se regardent en chiens de faïence. AAP/AP/Carolyn Kaster

Joe Biden saura-t-il réconcilier les Américains ?

La victoire de Joe Biden ne suffit évidemment pas, à elle seule, à mettre fin aux profondes divisions de la société américaine.

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