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« Fenêtres ouvertes sur la gestion » (2) : Contrefaçon, rôles du CNU et autres classements de Shangaï

La lettre Fenêtres Ouvertes sur la Gestion, n°2.

À l’affiche de cette lettre « Fenêtres ouvertes sur la gestion », n°2, datée 15 septembre 2018 :

  • Une conversation avec l’auteur le plus consulté (hors institutions) de la Revue Française de Gestion en 2017 via la plateforme CAIRN : Eric Lamarque, Directeur de l’IAE de Paris et président du réseau des IAE.

Read more: Le système financier est-il plus sécurisé qu’en 2008 ?


  • La restitution avec Manal El Bekkari (IAE de Lyon) d’un travail de recherche relatif à la gestion par les PME du risque de contrefaçon des sous-traitants.
  • Une discussion autour de la place du doctorat aujourd’hui avec Sylvie Pommier, Directrice du Collège Doctoral de l’Université Paris-Saclay.

Read more: Cérémonies de remise des diplômes de doctorat : pourquoi cet engouement ?


  • Une réponse par Véronique Des Garets (IAE de Tours, laboratoire Vallorem) aux critiques formulées en 2017 par le président Emmanuel Macron contre une institution trop méconnue du grand public : le Conseil National des Universités.

Read more: Devenir professeur des universités en sciences de gestion : retour sur quatre années de qualifications


  • Un retour sur « le paradoxe des business schools », prises dans l’enfer de rivalités mimétiques suicidaires, avec Hamid Bouchikhi (ESSEC Business School).

Read more: Le paradoxe des business schools : conversation avec Hamid Bouchikhi


  • L’éclairage de Jean Charroin, récemment nommé Directeur Général de l’ESSCA, sur le rôle du classement de Shangaï comme « technologie invisible ».

Read more: Travailler sur l’invisible dans une société amnésique


  • Enfin, l’appel à la révolte d’Aurélien Rouquet (Neoma Business School), publié dans la Revue Française de Gestion.

Read more: Face à l’évaluation par « étoiles » : chercheurs en gestion, révoltons-nous !


Prises dans leur ensemble, ces émissions laissent le sentiment d’une situation dont le caractère paradoxal atteint désormais son paroxysme : d’un côté, le diagnostic d’un système d’enseignement supérieur malade d’avoir dépassé (en sciences de gestion comme ailleurs) depuis longtemps le “point culimnant” s’impose avec la force de l’évidence ; d’un autre côté, plutôt que de s’en saisir de manière proactive pour reconcevoir (réellement) le futur, les institutions nationales (CNRS, FNEGE, associations académiques, etc.) semblent impuissantes à instruire ces débats qui agitent pourtant le monde entier.

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