Malgré leurs similarités, les télescopes spatiaux Euclid et James Webb diffèrent sur de nombreux aspects. On fait le point sur leurs principaux avantages et complémentarités.
Quand Henk Hoekstra a commencé son doctorat, les turbulences atmosphériques et les imperfections optiques empêchaient d’observer avec précision la matière noire. Aujourd’hui, Euclid change la donne.
Lors des événements les plus violents observables dans l’Univers, un trou noir est souvent dans les parages. Deux missions spatiales vont traquer ces phénomènes pour percer les mystères de ces astres
La plupart des trous noirs sont invisibles, mais lorsqu’ils absorbent de la matière, de la lumière peut être émise et l’on peut les observer indirectement.
Comme dans tous les autres domaines, la qualité et la précision de l’expression orale et écrite, en sciences, impactent la transmission des idées et le raisonnement. En tenons-nous suffisamment compte ?
La matière noire est encore mystérieuse ; pourtant, elle serait six fois plus présente que la matière « ordinaire ». Plusieurs laboratoires dans le monde cherchent à percer ce mystère.
La mission XRISM de l'agence spatiale japonaise doit observer les rayons X émis par des sources cosmiques - et pour la première fois, déceler les différentes « couleurs » de ces rayons.
André Debus, Centre national d’études spatiales (CNES)
Le nouvel observatoire Euclid, lancé ce 1ᵉ juillet, va étudier la matière sombre et l’énergie noire, pour tenter de comprendre l’expansion de l’univers.
Découvrez le paradoxe d’Olbers : si notre univers est infini alors il devrait y avoir une infinité d’étoiles, donc la nuit, le ciel devrait être brillant.
Une dentelle de gaz et de poussière, observée par le télescope spatial James-Webb, révèle qu’un quatuor d’étoiles est l’ancêtre de cette « nébuleuse de l’Anneau austral ».
La découverte de l’expansion de l’univers a été rendue possible lorsque les astronomes furent capables de mesurer séparément la distance d’objets célestes lointains et leur vitesse.
Chercheur CNRS à l'Observatoire de Paris, au laboratoire LESIA qui est labellisé Domaine d'Intérêt Majeur ACAV+ par la Région Ile-de-France, Observatoire de Paris