De nombreux poissons sauvages du Québec ont des parasites. Est-ce nécessairement une mauvaise chose ? Comment peut-on limiter la prolifération et la propagation de certains parasites néfastes ?
James Harris, Université du Québec à Montréal (UQAM) et Marie Larocque, Université du Québec à Montréal (UQAM)
Au Canada, les eaux souterraines sont généralement abondantes et de plus en plus étudiées. Les échanges entre les eaux souterraines et les lacs sont toutefois complexes et souvent invisibles.
Valérie S. Langlois, Institut national de la recherche scientifique (INRS); Julien Gigault, Université Laval; Raphaël Lavoie, Institut national de la recherche scientifique (INRS) et To Tuan Anh, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
Une récente étude montre que la grande majorité des microplastiques retrouvés dans le fleuve Saint-Laurent proviennent de fibres textiles.
La plate-forme « Espions des Océans » lancée en 2023 par l’Ifremer permet à chacun d’annoter des images des fonds marins pour en identifier la faune et la flore… et faire progresser la recherche.
Cette petite île du Pacifique, qui a connu une ruée vers son phosphate à la fin du siècle dernier, illustre les conséquences tragiques de l’exploitation irresponsable des ressources naturelles.
Noémie Coulon, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
C'est un constat qui alarme, car on a longtemps pensé que ces espèces s'acclimateraient, ayant survécu à des périodes passées aux concentrations atmosphériques de CO2 bien plus élevées qu'aujourd'hui.
Nicolas Séon, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN); Peggy Vincent, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) et Romain Amiot, Université Claude Bernard Lyon 1
Qu’ils vivent dans l’eau douce ou salée, les dauphins ne peuvent pas directement boire pour s’hydrater, mais se servent de leur nourriture.
En Méditerranée, les vagues de chaleur déciment ces forêts sous-marines essentielles aux écosystèmes. Les gorgones semblent mieux résister dans les profondeurs, mais ce refuge pourrait n'être que temporaire.
Julien Blanco, Institut de recherche pour le développement (IRD) et Sarah Paquet, Institut de recherche pour le développement (IRD)
La biodiversité est menacée sur notre planète. Au-delà des services indispensables qu’elle nous rend, il est crucial de la préserver, car elle contribue à notre identité et a le droit d’exister.
L’accumulation de polluants synthétiques dans la graisse des orques nuit à la santé de ces mammifères marins. Il est urgent d’agir pour résoudre ce problème.
Boris Leroy, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Les introductions de poissons d'eau douce, à travers le commerce, mais aussi l'ouverture de nouvelles voies de navigation, ont bouleversé la géographie de ces espèces. Un nouveau marqueur de l'Anthropocène ?
Chloé Maurel, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
La communauté internationale reste divisée sur la protection de la haute mer et la mise en œuvre des quelques mesures protectrices sur lesquelles elle s’accorde reste lente face à l’urgence d’agir.
Fanny Fronton, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
Non, le sang n’est pas stérile. Et analyser les bactéries qui s’y trouvent pourrait permettre d’évaluer la santé des poissons et d’éviter l’effondrement de leurs populations.
Il ne viendrait à l’idée de personne de manger un animal en voie de disparition comme le lynx ibérique. Alors pourquoi mangeons-nous encore des anguilles ?
Réflexion sur la pertinence de fusionner les agendas sur le climat et sur la biodiversité afin d’éviter un système à deux vitesses dans une ère post-pandémique.