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Articles sur biodiversité marine

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Lac Cromwell à la Station de biologie des Laurentides de l’Université de Montréal, où plusieurs de nos études sont faites sur les poissons parasités. Crédit : Ariane Côté

Nos lacs fourmillent de parasites. C’est une bonne… et une mauvaise chose !

De nombreux poissons sauvages du Québec ont des parasites. Est-ce nécessairement une mauvaise chose ? Comment peut-on limiter la prolifération et la propagation de certains parasites néfastes ?
Vue du lac Papineau à la forêt Kenauk, en Outaouais, au Québec. (Chaire de recherche Eau et conservation du territoire)

Le rôle invisible des eaux souterraines dans le soutien des lacs

Au Canada, les eaux souterraines sont généralement abondantes et de plus en plus étudiées. Les échanges entre les eaux souterraines et les lacs sont toutefois complexes et souvent invisibles.
Les microplastiques peuvent s’accumuler dans les poissons que l’on pêche et que l'on élève en aquaculture. (Shutterstock)

Nos vêtements génèrent des microplastiques qui polluent le fleuve Saint-Laurent

Une récente étude montre que la grande majorité des microplastiques retrouvés dans le fleuve Saint-Laurent proviennent de fibres textiles.
Pour boire, les dauphins mangent des poissons. Oleksandr Sushko / Unsplash

Les dauphins ne peuvent pas boire l’eau dans laquelle ils nagent, alors comment s’hydratent-ils ?

Qu’ils vivent dans l’eau douce ou salée, les dauphins ne peuvent pas directement boire pour s’hydrater, mais se servent de leur nourriture.
À une profondeur de plus de 60 mètres, les gorgones sont saines, colorées et en bonne santé : la profondeur les a temporairement protégées de la hausse de la température. Mais pour combien de temps ? Alexis Rosenfeld avec l’Unesco

Les fonds marins, refuge pour les forêts de gorgones menacées par les vagues de chaleur ?

En Méditerranée, les vagues de chaleur déciment ces forêts sous-marines essentielles aux écosystèmes. Les gorgones semblent mieux résister dans les profondeurs, mais ce refuge pourrait n'être que temporaire.
La biodiversité est globalement menacée sur Terre. Kazakova Maryia/Shuutterstock

Pourquoi doit-on prendre soin de la biodiversité ?

La biodiversité est menacée sur notre planète. Au-delà des services indispensables qu’elle nous rend, il est crucial de la préserver, car elle contribue à notre identité et a le droit d’exister.
Le poisson rouge est l'une des nombreuses espèces de poissons d'eau douce introduites par les humains dans les milieux naturels, bouleversant durablement leur aire de répartition naturelle. Watts / Flickr / Creative Commons

La répartition géographique des poissons d’eau douce, nouveau marqueur de l’anthropocène ?

Les introductions de poissons d'eau douce, à travers le commerce, mais aussi l'ouverture de nouvelles voies de navigation, ont bouleversé la géographie de ces espèces. Un nouveau marqueur de l'Anthropocène ?
Le majestueux Saint-Laurent, joyau à l'importance économique, historique et environnementale, nous rappelle la nécessité de préserver cet écosystème essentiel. (Ludovic Pascal)

Le Saint-Laurent manque d’oxygène. Et l’impact est grand pour les petits animaux qui y vivent

Les eaux du Saint-Laurent s’essoufflent, et les organismes du fond en subissent déjà les effets. Voici comment les écosystèmes réagissent.
L'industrialisation de la pêche et les changements de l'environnement ont amené beaucoup de problématiques sur la gestion de nos pêches. (Fanny Fronton)

Analyser le sang des poissons pour déterminer leur état de santé

Non, le sang n’est pas stérile. Et analyser les bactéries qui s’y trouvent pourrait permettre d’évaluer la santé des poissons et d’éviter l’effondrement de leurs populations.
La mairesse de Montréal, Valérie Plante, prononce un discours lors de la cérémonie d'ouverture de la conférence de l'ONU sur la biodiversité, la COP15, à Montréal, le 6 décembre 2022. LA PRESSE CANADIENNE/Paul Chiasson

COP sur le climat, COP sur la biodiversité : voici pourquoi il faut une approche intégrée

Réflexion sur la pertinence de fusionner les agendas sur le climat et sur la biodiversité afin d’éviter un système à deux vitesses dans une ère post-pandémique.

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