Les parties à la Convention sur la diversité biologique ont adopté leur nouveau cadre mondial pour la biodiversité post-2020 le 19 décembre 2022.
La Presse canadienne/Paul Chiasson
Lauren Touchant, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Elie Klee, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Erin Dobbelsteyn, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Lynda Hubert Ta, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Nessan Akemakou, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa et Thomas Burelli, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
La COP15 peut être considérée comme un succès avec l’adoption d’un cadre qui vise notamment à protéger au moins 30 % des zones terrestres, côtières et marines d’ici 2030.
La température de la planète a déjà augmenté de 1,09 degré Celsius depuis les niveaux préindustriels.
(Shutterstock)
Thomas Burelli, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Le récent rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), rendu public le 28 février dernier, fait état de conclusions alarmantes liées aux changements climatiques.
Montréal accueillera l'un des 2 quartiers généraux du Conseil des normes internationales d’information sur la durabilité.
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Dans un contexte où l’environnement représente une préoccupation du grand public, il est primordial de comprendre les avantages, limites et inconvénients de la normalisation en matière de durabilité.
Les budgets visant à favoriser l’adoption de nouveaux systèmes peuvent être utilisés de plusieurs manières.
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De nouveaux travaux de recherche éclairent sur la meilleure façon de mobiliser l’investissement public privilégier pour servir au mieux les objectifs de lutte contre le réchauffement climatique.
Au centre des médias de la COP26 à Glasgow.
Alain Jocard / AFP
La conférence de Glasgow de novembre 2021 nous a donné à voir comment s’articulent les discours politiques, médiatiques et scientifiques autour de la question du changement climatique.
Le 12 novembre 2021 à Glasgow, lors d’une manifestation en marge des négociations de la COP26.
ANDY BUCHANAN / AFP
Les avancées et les limites de la récente COP26 soulignent la nécessité de faire évoluer les conférences internationales sur le climat. Pas de les supprimer.
Des délégués de différents pays posent pour la photo, à Glasgow, le 13 novembre, 2021. La COP26 a été l’occasion d'avancées et de nouvelles annonces, mais elles sont largement en-deçà de ce qu’exige la science.
(AP Photo/Alberto Pezzali)
La COP26 a été l’occasion d’avancées et d’annonces, mais les engagements des États – en plus de devoir passer l’épreuve de leur mise en œuvre – sont largement en deçà de ce qu’exige la science.
Les scénarios les plus optimistes impliquent désormais que les émissions nettes de gaz à effet de serre soient négatives dans la seconde moitié du siècle.
Nelson Almeida / AFP
Géo-ingénierie de capture et de stockage du carbone, réhabilitation des écosystèmes, hausse progressive du prix du carbone… Les leviers d’actions existent pour éviter la décroissance.
Des militants manifestent le vendredi 12 novembre 2021 à Glasgow alors que la COP entre dans la phase finale des négociations.
ANDY BUCHANAN / AFP
Évaluation des efforts climatiques des pays, sortie des énergies fossiles, décision sur le méthane, retour du dialogue Chine-US, poids de la société civile… La COP26 résumée en ses points essentiels.
Variations de température au niveau de la surface terrestre mesurée par l’instrument IASI durant l’été 2018.
Sarah Safieddine
Entre 2008 et 2017, le sondeur IASI a relevé les empreintes des gaz à effet de serre dans l'atmosphère. Des informations essentielles pour évaluer les actions de lutte contre le réchauffement.
Emmanuel Macron prenant la parole à la COP26 de Glasgow, le 1er novembre 2021.
ANDY BUCHANAN / POOL / AFP
Au-delà du PIB et des émissions de gaz à effet de serre, il faut recourir à des systèmes de mesure plus complexes pour apprécier la réalité des performances environnementales des États.
Les dirigeants mondiaux se sont déjà entendus pour faire cesser la déforestation, mais l'engagement est resté sans suite.
(AP Photo/Michael Probst)
Mettre fin à la déforestation présente un grand potentiel, mais le Canada a du pain sur la planche s’il veut atteindre ce nouvel objectif et faire cesser la perte continue de forêts et de carbone.
Un nouveau mouvement philanthropique tente de mobiliser des fonds au-delà des financeurs traditionnels du climat, dans une approche plus transversale.
L’équipe du forage antarctique de Vostok, le 24 décembre 1991. Les trois kilomètres de glace forés sous la station soviétique permettront à Jean-Robert Petit (tout à gauche) et ses collègues français, soviétiques et américains de reconstituer la composition de l’atmosphère sur les 400 000 dernières années.
Jean-Marc Barnola
À l’occasion de la COP26, un voyage dans le temps à la découverte des moments forts des sciences du climat.
Des arbres carbonisés après un incendie de forêt dans la région de Chefchaouen, dans le nord du Maroc, le 16 août 2021, alors que le royaume était en proie à une vague de chaleur.
Fadel Senna / AFP
Une étude menée auprès de 1 300 citoyens, français, marocains et étasuniens, révèle que les Français sont moins réceptifs envers les actions de leur pays en faveur du climat.
Mark Carney, co-président de Gfanz, intervient lors de la COP26 pour présenter cette initiative qui regroupe plus de 450 banques dans le monde.
Daniel Leal-Olivas / AFP
Jusqu’à présent, les engagements à respecter l’Accord de Paris sur le climat n’ont pas été suivis d’effets dans plusieurs grands établissements bancaires.
La Sicile frappée fin octobre 2021 par des pluies torrentielles.
Stringer / Ansa / AFP
Il est urgent d'engager la transition énergétique, sans se résoudre au fatalisme ni attendre une solution miracle. Les technologies pour une sobriété acceptable, sans régression, sont disponibles.
Un regard rétrospectif et décloisonné sur la « découverte » des dérèglements climatiques souligne les liens entre choix énergétiques et technologiques et enjeux sociaux, économiques et politiques.
Des fissures de sol séché dans la campagne thaïlandaise.
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H. Damon Matthews, Concordia University et Glen Peters, Center for International Climate and Environment Research - Oslo
L’horloge suit les émissions mondiales et les données relatives aux températures, et utilise la tendance des émissions récentes pour estimer le temps qu’il reste avant que un réchauffement de 1,5 °C.
L’année 2021 devrait afficher 39 milliards de tonnes d’émissions de CO₂.
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Après une forte baisse des émissions en 2020 due à la pandémie de Covid-19, 2021 témoigne d’une inquiétante reprise, souligne la nouvelle étude du Global Carbon Projet.
Professeur en droit, Section de droit civil, Université d’Ottawa (Canada), membre du Conseil scientifique de la Fondation France Libertés, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Professor at Vancouver Island University & Postdoctoral fellow, Centre d’études en gouvernance et du Centre de droit de l’environnement et de la durabilité mondiale, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa