La réaction à la pandémie de Covid-19 s’organise selon des paramètres qui n’ont pas été fondamentalement redéfinis depuis 150 ans alors que la donne a considérablement changé.
Certaines organisations régionales comme l’Union européenne et l’Union africaine pourraient élargir leur mandat et accroître leurs ressources du fait de l’actuelle crise sanitaire.
Face à l'épidémie, les États membres de l'UE ont privilégié l'action à l'échelon national. L'Union a toutefois un rôle majeur à jouer dans la situation actuelle, dont elle pourrait sortir renforcée.
Arnaud Mercier, Auteurs historiques The Conversation France
Arnaud Mercier établit une archéologie des choix de politique publique qui permet de comprendre comment la France se trouve aujourd’hui en situation de « pénurie ».
Un regard sur ce que font différents pays face au choc économique provoqué par la pandémie, de l’Indonésie à l’Argentine et au Canada, en passant pour les États-Unis.
Considérant les risques accrus de pandémie et le mandat exigeant de l’OMS, le financement ne doit pas être coupé, mais vraisemblablement accru. Cela dit, l'OMS doit rendre des comptes.
Avec le déconfinement, il ne s’agira plus comme nous l’avons fait jusqu’ici d’ériger des barrières fixes et définitives pour se protéger du virus, mais de tenter de continuer à discipliner les corps.
L’impossibilité de dire ce qui sera « normal » à l’avenir nous rappelle que s’enfoncer dans la crise ou en sortir par le haut est de notre responsabilité à tous.
Michel Gandilhon, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Aux États-Unis, les autorités sanitaires luttent contre deux épidémies, le Covid-19 et la crise des opioïdes. Avec le confinement, les cas d’overdoses d’opioïdes auraient nettement augmenté.
En plus d’être utilisés dans divers secteurs tels que la santé, l’éducation et le commerce, les robots sont également utilisés dans la gestion des crises.
Les sanctions prises pour faire appliquer les mesures de sécurité sanitaire auprès de la population et plus largement, la gestion de la crise bousculent considérablement l’application du droit pénal.
Léo Trespeuch, Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR); Aurélie Corne, IAE Perpignan School of Management – Université de Perpignan Via Domitia; Béatrice Parguel, Université Paris Dauphine – PSL; Dominique Kreziak, IAE Savoie Mont Blanc; Élisabeth Robinot, Université du Québec à Montréal (UQAM); Fabien Durif, Université du Québec à Montréal (UQAM); Florence de Ferran, La Rochelle Université; Hélène Michel, Grenoble École de Management (GEM); Jean-Luc Giannelloni, Grenoble IAE Graduate School of Management; Jean-Marc Fontan, Université du Québec à Montréal (UQAM); Laurent Botti, IAE Perpignan School of Management – Université de Perpignan Via Domitia; Mathieu Lajante, Université Laval; Mireille Lalancette, Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR); Myriam Ertz, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) et Nicolas Peypoch, IAE Perpignan School of Management – Université de Perpignan Via Domitia
La crise de la Covid-19 révèle qu’il est possible d’adopter à grande échelle des comportements plus responsables sur les plans environnementaux et sociaux. Mais ces comportements vont-ils perdurer?
Les conversations avec les élèves sur les soupçons de maltraitance sont parmi les plus difficiles que les enseignants et les intervenants scolaires auront dans leur carrière. Des outils existent.
Pendant la phase de confinement « strict », de nouveaux groupes Facebook ont vu le jour, offrant une forme de soutien émotionnel et informationnel à leurs membres.
Maître de conférences en épidémiologie et évolution des maladies infectieuses, laboratoire PCCEI (Univ. Montpellier, Inserm, EFS) & CHU Nîmes, Université de Montpellier
Directeur de Recherche au CNRS et directeur de l'équipe Écologie et Évolution de la Santé au Centre interdisciplinaire de recherche en biologie (CIRB) UMR CNRS 7241 – U1050 Inserm – Collège de France, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)