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Articles sur entreprises à mission

Ensemble des articles

Demander à un salarié d’agir seul n’est pas évident. Shutterstock

Peut-on imposer l’autonomie aux salariés d’une entreprise ?

Un article de recherche montre que les formes d’auto-organisation tendent à émerger spontanément, quelles que soient les politiques de management retenues.
En 2020, Danone devient la première société cotée à adopter le statut d’entreprise « à mission ». Denis Charlet / AFP

Danone, ou l’ultime paradoxe de la société « à mission »

Ce statut devait permettre au géant alimentaire de mieux se protéger d’une éventuelle OPA. Une stratégie qui semble s’être retournée contre Emmanuel Faber, récemment évincé de la présidence.
Afin d’aller plus loin dans l’affirmation de ses engagements en termes de RSE, la MAIF a acquis le statut de société à mission. Vincent NGuyen / MAIF

Pourquoi les entreprises déjà engagées dans la RSE deviennent-elles aussi des « sociétés à mission » ?

Adopter le statut prévu dans la loi Pacte de 2019 renforce la performance globale des organisations affichant depuis longtemps leurs engagements sociaux et environnementaux. Trois cas l’illustrent.
Les entreprises qui laissent les employés prendre les décisions à la place des dirigeants prouvent que l’on peut allier plus de liberté et plus de performance. Pickpic

Dans l’entreprise libérée, la raison d’être bouscule la dictature du profit

Une série d’entretiens montre que les dirigeants qui autonomisent leurs équipes sont davantage enclins à placer la mission de l’organisation au cœur de leurs décisions.
En cas d'offre publique de rachat, une entreprise peut convoquer une assemblée générale extraordinaire pour modifier rapidement les statuts et opposer aux intitiateurs une incompatibilité avec la raison d'être dont se sera dotée l'entreprise. Rawpixel.com / Shutterstock

Se prémunir des OPA hostiles, l’effet inattendu de la raison d’être des entreprises

Cette notion introduite dans la loi Pacte permet aux entreprises de se doter indirectement d’un nouvel argument pour résister aux éventuelles tentatives d’OPA hostiles.
Moukatioun ! L'image de la campagne de boycott sur Facebook. Facebook

La campagne de boycott « Moukatioun » au Maroc : une contestation du modèle des entreprises financiarisées

En 2018, le Maroc a connu un large mouvement de boycott de plusieurs produits de consommation qui traduit un désaveu des élites économiques et une contestation des grandes entreprises financiarisées.
La réalité économique et financière va continuer à s'imposer aux dirigeants des entreprises, loi Pacte ou pas. HQuality / Shutterstock

Loi Pacte : il faut que tout change pour que rien ne change

La prise en compte des enjeux sociaux et environnementaux dans la mission de l’entreprise est loin d’être une révolution. La nouveauté, c’est plutôt le pouvoir renforcé des actionnaires.
La montagne a-t-elle accouché d’une souris ? Il semble bien que oui… Stokkete / Shutterstock

La loi Pacte ne referme pas le débat sur l’objet social de l’entreprise

Le texte, voté à l’Assemblée nationale début octobre, n’éclaire pas sur ce que devraient être les finalités d’une société en tant que personne morale. C’était pourtant le point le plus attendu.
La société civile est concernée au premier chef par la réforme de l'entreprise. Shutterstock

L’entreprise, un objet d’intérêt collectif ?

Le rapport Notat-Sénart sur la réforme de l’entreprise présente des problématiques importantes pour la société civile. Mais il contient des contradictions, et les innovations y sont rares.
La loi PACTE mettra-t-elle fin à la dichotomie entre entreprise classique, tournée vers la maximisation de ses profits, et entreprise de l'économie sociale et solidaire, dédiée à l'intérêt général ? Shutterstock

L’économie sociale et solidaire face à la réforme de l’entreprise

Le projet de loi PACTE semble annoncer la fin des dichotomies entre entreprises dites « classiques » et entreprises de l’économie sociale et solidaire. À quoi ressembleront les entreprises ainsi réformées ?
Nicole Notat (au centre) et Jean-Dominique Sénard (à sa gauche) remettent leur rapport aux ministres concernés (de g. à dr. : Muriel Pénicaud [Travail], Bruno Le Maire [Économie], Nicole Belloubet [Justice] et Nicolas Hulot [Environnement]). Eric Piermont/AFP

Rapport Notat−Senard : réformer l’entreprise, raisonnablement

Parmi les quatorze propositions contenues dans le rapport Notat-Sénard, plusieurs pourraient constituer de solides fondations sur lesquels bâtir l’entreprise de demain, en renforçant l’existant.
Les méta-organisations, regroupement d'organisations, pourraient constituer un puissant levier pour organiser la gouvernance sectorielle des entreprises. Shutterstock

La gouvernance sectorielle, chaînon manquant de la refonte de l’entreprise

Les discussions vont bon train autour du projet de loi PACTE, qui devrait réformer en profondeur l’entreprise et sa gouvernance. Et si l’une des pistes les plus prometteuses se situait au niveau sectoriel ?

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