De plus en plus de missions spatiales ciblent les astéroïdes. Parmi leurs buts : mieux comprendre la formation du système solaire et déterminer comment les repousser.
Conçu pour apporter une aide à la décision, le Geoint (« geospatial intelligence ») est un processus de renseignement basé sur la collecte de toutes les données géolocalisées.
La vitesse de propagation des ondes électromagnétiques est suffisante pour communiquer en temps réel entre tous les habitants de la Terre, mais pas au-delà de notre planète.
Depuis quelques années, l’astronomie est en mesure d’étudier l’univers à travers quatre biais différents, ce qui permet de compléter notre vision des mécanismes physiques en jeu.
Benoît Tonson, The Conversation; Elsa Couderc, The Conversation et Estelle Rünneburger, The Conversation
Destiné à scruter le cosmos, le James Webb Space Telescope est enfin prêt à prendre son envol. Retour sur la genèse et les buts de ce projet hors norme.
Les mégaconstellations de satellites encombreront visuellement le ciel nocturne, perturbant la recherche astronomique. Et les dommages environnementaux causés par ces satellites sont encore inconnus.
Faisons le point sur les instruments qui ont permis de découvrir les ondes gravitationnelles, puis de les étudier. Depuis lors, ils alternent phases d’amélioration et campagnes de prise de données.
Après la Seconde Guerre mondiale, les chercheurs français ont mis en place de nombreuses coopérations internationales pour développer le programme spatial.
Les instruments du télescope spatial James-Webb vont permettre d’étudier les atmosphères de planètes hors de notre système solaire, notamment pour y chercher des traces de vie.
Le JWST est replié dans Ariane 5. Avant de nous envoyer ses premières données scientifiques, il va se déployer dans l’espace et être testé pour s’assurer que ses instruments fonctionnent.
2021 fut l’année du tourisme spatial, une pratique qui fait l’objet de vives critiques. Les fictions y participent comme la série « Avenue 5 » d’Armando Iannucci (2020) et son propos satirique.
Plus de 1 200 scientifiques de 14 pays ont participé à la construction du Webb. À quoi va-t-il servir ? Pourquoi un tel coût, et d’où viennent les retards ?
Professeur des Universités, Exobiologiste au Laboratoire Atmosphères Modélisaton et Observations Spatiales (LATMOS), Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay