Les pratiques d’Internet privilégiées par les classes populaires font sens par rapport à leur besoins quotidiens et qu’elles sont des indicateurs pertinents de leur rapport au monde.
La recherche est la grande oubliée de cette situation « piège » qu’est la mal-information. Or, aux peurs et émotions que celle-ci agite, il faut opposer des réponses à froid, fondées sur la science.
La cyberviolence verbale, qui est la forme de violence la plus répandue au sein du web et des réseaux sociaux, peut être combattue de différentes manières.
Nous ne pouvons plus nous passer de nos objets connectés ! Cette dépendance a un coût énergétique de plus en plus important mais des solutions existent pour rendre nos appareils plus sobres.
Ce que les scientifiques préconisent pour soigner la « cyberaddiction » contemporaine, qui affecte notre qualité de vie et nos capacités de concentration.
Fortes de leurs données, les plates-formes numériques les utilisent pour se positionner sur des marchés non numériques. Une situation qui pose trois problématiques stratégiques aux acteurs historiques.
Jòan Gondolo, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Prétendue révolution, la RGPD n’est en réalité que l’expression plus aboutie d’une vision philosophique ancienne, tendant à rapprocher donnée, vie privée et personne humaine.
Certaines entreprises n’ont pas encore pu se conformer au Règlement général sur la protection des données, qui impose des contraintes chronophages et coûteuses. Quels sont les chantiers prioritaires ?
Les objets connectés rendent bien des services, mais ils peuvent devenir de véritables armes dans les mains de personnes mal intentionnées. Comment prévenir ces nouveaux risques ?
Le Règlement général sur la protection des données est en vigueur depuis le 25 mai. Analyse de ses quatre mesures phares : labels, obligation de responsabilité, portabilité et pseudonymisation.
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School