Le plastique est très utilisé en agriculture pour le paillage des cultures, où il pose des problèmes de pollution. Des alternatives existent, mais elles ne sont pas toujours satisfaisantes.
Depuis les années 50, on a produit des milliards de tonnes de plastique, dont la majeure partie se retrouve dans l’environnement, jusqu’au fond des lacs finlandais.
Une trop faible implication des équipes en charge de déployer les politiques de durabilité risque de faire naître un scepticisme quant aux intentions réelles de leurs employeurs.
Face aux exigences environnementales, les prestataires de services de transports, d’emballage et de stockage adoptent de nouvelles pratiques qui varient toutefois selon la taille de l’entreprise.
L’analyse cycle de vie des emballages alimentaires omet souvent l’impact et la toxicité éventuelle des fuites de plastique dans l’environnement. Ce qui donne aux plastiques un avantage injustifié.
Ethel Eljarrat, Instituto de Diagnóstico Ambiental y Estudios del Agua (IDAEA - CSIC)
La pandémie a provoqué une explosion de l’usage du plastique, à l’hôpital et dans les foyers. Nombre des résidus générés ne peuvent être recyclés et sont donc incinérés ou envoyés à la décharge.
Denis Blot, Université de Picardie Jules Verne (UPJV) et Julie Désert, Université de Picardie Jules Verne (UPJV)
Les opérations citoyennes de ramassage des déchets ont tendance à déresponsabiliser les entreprises et génèrent sur le plan environnemental des effets pervers.
Les Français sont aujourd’hui davantage prêts à la sobriété énergétique qu’à la réduction de leur consommation d’objets. Les auteurs du livre « Du gaspillage à la sobriété » expliquent pourquoi.
La surconsommation de plastique et les déchets qu’elle génère ont un impact fort sur l’environnement marin : la lutte contre ce fléau doit passer par une réduction de la production de plastique.
Les emballages plastiques sont régulièrement mis en cause pour leurs impacts néfastes sur la santé et l’environnement. Des innovations plus respectueuses offrent cependant de réelles alternatives.
Alors que s’ouvre la COP22, zoom sur des initiatives marocaines en matière de protection de l’environnement et de lutte contre les changements climatiques.
Longtemps présentés comme une alternative à la pollution par le plastique, les sacs dits « biodégradables » n’auront pas eu les faveurs de la nouvelle loi du 1er juillet 2016.
Dès 1995, les centres Leclerc mettaient en place le sac plastique consigné et réutilisable. Retour sur une décision qui n’avait pas fait d’émules à l’époque.
Phd, enseignant-chercheur, responsable de la filière « Gestion des organisations et des destinations touristiques », École supérieure de technologie d’Essaouira, Université Cadi Ayyad