Après plus d’un an à manger sous l’effet du stress et à ne se voir qu’à travers des écrans, l’anxiété liée aux changements d’apparence physique peut rendre le retour à socialisation intimidant.
Que vivent les personnes très corpulentes dans une société comme la nôtre ? Que révèle le stigmate de gros ou de grosse des normes qui pèsent différemment sur les hommes et sur les femmes ?
Les préjugés à l'égard des personnes de forte taille ou obèses sont répandus en Australie, au Canada, en France, en Allemagne, au Royaume-Uni et aux États-Unis.
Dans cet épisode, nous vous racontons comment un mot, grossophobie, a réussi à faire sortir de l’ombre le sujet des discriminations à l’encontre des personnes en surpoids et obèses.
Au lendemain des fêtes et des confinements vient la tentation d’un régime amaigrissant. Or s’agissant de l’effet à long terme comme des bienfaits santé, on ne peut que vanter le régime méditerranéen.
Les personnes qui s’inquiètent de prendre du poids tentent souvent d’estimer le nombre de calories contenues dans leur assiette et, la plupart du temps, elles se trompent !
Quels ont été les effets du confinement sur nos habitudes alimentaires ? Et comment éviter la contamination ? Des vitamines et oligo-éléments sont-ils utiles en prévention ? Tour d’horizon…
Les pays les plus touchés au monde par l’obésité se situent dans le Pacifique. Comprendre pourquoi nécessite de s’intéresser à la diversité des territoires et des cultures des populations.
Pendant deux mois, le confinement a modifié les habitudes des Français. Limitation des sorties, de l’activité physique, modification des pratiques alimentaires… Avec quel impact sur leur corpulence ?
La lutte contre l’obésité est d’autant plus efficace qu’elle est précoce. Pour sensibiliser les individus et les inciter à adopter une alimentation saine, le marketing social a fait ses preuves.
La majorité des patients admis en réanimation suite à une infection par le SARS-CoV-2 présentent un surpoids important. Pourquoi les personnes obèses sont-elles plus menacées par ce coronavirus ?
La consommation excessive de malbouffe pendant l’adolescence peut altérer le développement du cerveau, ce qui entraîne de mauvaises habitudes alimentaires durables.
Nous ne sommes pas égaux devant le surpoids : notre tendance à grossir dépend de nos gènes. L’identification de ceux impliqués dans l’obésité fait espérer la mise au point de nouveaux traitements.
Nous avons parfois beau nous agiter à la salle de sport, nous ne perdons pas de poids. Nous sommes trahis par notre propre corps, qui adapte ses besoins à notre niveau d’activité physique.
À la veille des Journées européennes de l’obésité, zoom sur un facteur de risque du surpoids relativement méconnu et qui, pourtant, nous concerne tous : le temps passé devant les écrans.
Le lien entre obésité et augmentation du risque de certains cancers est désormais de plus en plus solidement établi. Retour sur les dernières découvertes scientifiques.
Directrice de recherche honoraire. Coordinatrice du Réseau National Alimentation Cancer Recherche (réseau NACRe) de janvier 2000 à septembre 2020, Inrae