Lors des événements les plus violents observables dans l’Univers, un trou noir est souvent dans les parages. Deux missions spatiales vont traquer ces phénomènes pour percer les mystères de ces astres
La plupart des trous noirs sont invisibles, mais lorsqu’ils absorbent de la matière, de la lumière peut être émise et l’on peut les observer indirectement.
Comme dans tous les autres domaines, la qualité et la précision de l’expression orale et écrite, en sciences, impactent la transmission des idées et le raisonnement. En tenons-nous suffisamment compte ?
Pour observer les tempêtes gravitationnelles liées à la fusion de deux trous noirs, il faut d’abord faire naître non pas un, mais deux trous noirs. Comment ces conditions sont-elles réunies ?
Jusqu’à présent, seule une cinquantaine de mirages gravitationnels de quasars étaient connus. L’intelligence artificielle vient de permettre d’en découvrir douze nouveaux.
Une observation récente montre une étoile « dansant » autour d’un trou noir – l’occasion de revenir sur les descriptions du Cosmos dans l’histoire et d’en apprendre plus sur le cœur de la Voie lactée.
Nous vous proposons de revenir sur cette information que vous avez pu lire cette semaine dans plusieurs médias. La réponse de Yaël Nazé, Astronome à l’Université de Liège.
L’exploration du cosmos est riche de belles surprises scientifiques. Ainsi, de la formation des étoiles en relation avec leur masse. La loi censée régir ces processus vient d’être démentie.
Chercheur CNRS à l'Observatoire de Paris, au laboratoire LESIA qui est labellisé Domaine d'Intérêt Majeur ACAV+ par la Région Ile-de-France, Observatoire de Paris