Une étude révèle que notre volonté de préserver notre autonomie dans nos choix d’achat dépasse le besoin de réduire le temps et les efforts. Sauf, curieusement, quand notre identité entre en jeu.
Les alternatives à la « fast fashion » ne sont pas toujours suffisamment connues. Pour aider les consommateurs à choisir en connaissance de cause, il faudrait soutenir davantage les offres de proximité.
Avantages conférés à des exploitations qui n’en ont pas besoin, baisse ou report de consommation vers d’autres produits… des prix planchers dans l’agriculture pourraient bien s’avérer problématiques.
Pour qu’un crowdsourcing bénéficie à l’entreprise qui l’organise, il ne faut pas oublier les participants dont les idées ne sont pas retenues. Ils méritent presque autant d’égards que les gagnants.
Les leviers pour rendre les modes de consommation sobres plus désirables relèvent à la fois d’une transformation des représentations et de la mise en place de dispositifs concrets.
Réguler la fast fashion est peut-être nécessaire mais ne sera pas suffisant. Outre les imprécisions du texte, le succès passe aussi par la mobilisation des consommateurs.
Pour répondre aux nouvelles demandes des consommateurs, les industriels multiplient les promesses. Toutes ne sont pas aussi efficaces sur la perception et les intentions d’achat des futurs clients ?
Être attentif à la manière dont vous pouvez augmenter votre épargne ou réduire vos dépenses peut faire une différence significative pour votre bien-être financier.
La sobriété appliquée à l'industrie textile, c'est aussi refuser les achats inutiles. Dans le secteur du prêt-à-porter, des alternatives existent et s'appuient sur les principes de l'économie circulaire.
Malgré le scepticisme des professionnels, le marketing du « sans » séduit de plus en plus de consommateurs – à l’instar des tendances observées plus généralement l’alimentation bio.
Un travail de recherche montre qu’un consommateur peut renoncer à un achat dans un point de vente qu’il perçoit comme trop fréquenté. Aux boutiques alors de s’adapter.
Les enjeux de réglementation ou encore de rentabilité freinent le développement de procédés industriels qui permettraient de relancer une filière française autrefois active.
Avec sa campagne publicitaire encourageant la réduction de la consommation, l’Ademe propose une vision radicale de l’interaction marchande en tant qu’organisme public.
Dans un contexte de moindre engouement pour les NFT, les marques de luxe continuent de proposer des biens numériques qui séduisent les consommateurs pour d’autres raisons que la spéculation.
Trop souvent négligée, la pollution de l’air intérieur est pourtant un enjeu majeur. Certaines pratiques, travaux et changements d’habitude peuvent être nécessaires pour l’améliorer.
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)