Un pan méconnu de l’histoire de l’abolition de l’esclavage révèle comment le travail forcé a été mis en place au nom d’une supposée « mission civilisatrice ».
Trente ans après la chute du mur de Berlin, certains observateurs vont jusqu’à affirmer que la réunification a été une catastrophe pour les Allemands de l’Est. Qu’en est-il réellement ?
30 ans après la chute du mur de Berlin, des images de surveillance secrètes nous offrent un regard sans pareil sur la vie des gens qui tentent de s’échapper d’est en ouest.
L’esclavage, ses conséquences forment des injustices historiques injustices historiques que tous condamnent moralement. Mais la condamnation morale peut-elle s’assortir d’une réponse politique ?
Pour obtenir un parfait logotype, les graphistes ont éliminé tout élément rappelant l’histoire propre au labyrinthe de la cathédrale de Reims, créé en 1286 et détruit en 1778.
Les mobilisations massives qui agitent le pays ont été initiées par les enfants de la démocratie, contre un modèle économique et politique encore marqué par l’ère Pinochet.
Les tenants du « réalisme » et de la « stabilité » se réclament volontiers de l’histoire et des « intérêts éternels des grands États ». Autant de prétendues évidences qu’il convient de remettre en cause.
Notre époque subit directement les répliques de ce qui apparaît avec le recul comme les prémices d’un déclin crépusculaire du régime de la Vᵉ République.
Entrer dans le quotidien des habitants des campagnes en déclin, c’est aussi découvrir la complexité des rapports sociaux qui s’y nouent dans le temps. Extraits de l’ouvrage « Ceux qui restent ».
Une publicité faisant allusion à la vulve fait actuellement polémique, alors que les symboles phalliques ne provoquent pas la même réprobation. Pourquoi cette différence de traitement ?
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
Ne devons-nous pas redonner vitalité et pertinence au cadre l’État-Nation et des relations internationales dans nos analyses des grands problèmes contemporains ?
Chercheur au Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay