Plus qu’un accroissement de leurs capacités financières, les entreprises bénéficient d’un signal de qualité auquel les investisseurs se montrent sensibles.
Alors que l’étape d’étude de marché est régulièrement décriée comme inutile et inadaptée, il convient de rappeler pourquoi elle reste absolument essentielle pour la réussite du parcours de création.
Les patrons de petites entreprises apprécient particulièrement lorsque leurs proches leur apportent une aide émotionnelle, montre un récent travail de recherche.
Les petites entreprises tournées vers l’international, peu nombreuses à avoir mis en place des actions spécifiques, ont cherché à rassurer leurs clients, leurs fournisseurs et leurs salariés.
La perte d’influence ou encore les bouleversements du rythme quotidien peuvent conduire le gérant à repousser certaines décisions et nuire ainsi au passage de témoin.
Ludivine Chalencon, iaelyon School of Management – Université Jean Moulin Lyon 3 and Alain Marion, iaelyon School of Management – Université Jean Moulin Lyon 3
Les risques associés aux opérations d’acquisition d’entreprise, malgré leurs avantages, génèrent une réticence chez les banques qui peut freiner les dirigeants dans le développement de l’activité.
Seules 7,5 % des petites et moyennes entreprises développent un discours en ligne incitant de potentiels candidats à les rejoindre avec une mise en forme agréable et hospitalière en soutien.
Plusieurs plates-formes françaises se développent en prenant systématiquement en compte les interactions entre identification des clients, proposition de valeurs et monétisation de leurs solutions.
Face aux difficultés, les petites et moyennes entreprises ont intérêt à densifier leurs relations bancaires, tout en constituant un pool d’établissements pour faire jouer la concurrence.
Publier ses comptes en normes IFRS, qui améliorent la qualité de l’information financière, peut constituer une solution pour faciliter l’accès au crédit.
Dans les petites entreprises, le rapport à la matière et l’importance de l’humain jouent aujourd’hui un rôle dans la transformation numérique qui pourrait inspirer les plus grandes organisations.
Certaines très petites entreprises ont démontré au printemps dernier des capacités d’adaptation qui leur ont permis parfois de faire de bonnes affaires.
En Afrique centrale comme ailleurs, le confinement a imposé le recours au télétravail. Or les PME de ces pays et leurs employés rencontrent de nombreuses difficultés en la matière>.
La coopération et l’industrie 4.0 qui permet de reconfigurer les usines en cas de rupture des chaînes d’approvisionnement constituent une alternative à une autarcie coûteuse ou impossible.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)
Chargé de recherche, Fondation pour les Etudes et Recherches sur le Développement International (FERDI); Chercheur associé au CERDI (UMR UCA-CNRS-IRD), Université Clermont Auvergne (UCA)