L’ouvrage « Penser l’alternative. Réponses à quinze questions qui fâchent » a récemment été publié par cinq membres du collectif des économistes atterrés. Nous vous en proposons les bonnes feuilles.
Testé à Senlis, ce système tend à valoriser, à l’échelle d’un territoire, les actions de coopération et d’épargne d’énergie menées par ses membres, avec une monnaie indexée sur l’état de la nature.
La « success story » de la filière équitable repose notamment sur un dialogue maintenu entre des réformistes prêts à des compromis pour élargir le mouvement et les tenants d’une ligne plus radicale.
Relancer le secteur pour qu’il retrouve une dynamique de croissance ou bien saisir l’opportunité offerte par la crise pour le repenser autrement, à partir de concepts économiques hétérodoxes ?
Dans le contexte actuel, satisfaire par soi-même quelques besoins vitaux permet de recouvrer un peu de sentiments de capacité et de liberté. Les espaces loin des villes le permettent.
En France un nombre croissant de personnes quittent les espaces métropolitains pour emménager dans les grandes périphéries, et ce en choisissant d’autres styles de vie, notamment l’autonomie.
Les multiplications de campements à grande échelle, la banalisation de ceux abrités sous des tentes ou estompés sous les ponts démontrent que dormir est devenu un luxe.