Derrière la fermentation, la torréfaction, le broyage qui transforment le cacao en tablettes de chocolat, bonbons et pâtisseries, c’est de la science qui se cache.
Autrefois perçue comme une émotion dévastatrice, la nostalgie est devenue un moteur marketing. La résurrection de marques emblématiques révèle notre besoin intrinsèque de connexion au passé.
Les marketeurs de la filière cacao en Équateur tentent de vendre leur produit avec tout un lexique technique proche de celui du vin, quand le consommateur lui préfère en parler avec émotion.
La « success story » de la filière équitable repose notamment sur un dialogue maintenu entre des réformistes prêts à des compromis pour élargir le mouvement et les tenants d’une ligne plus radicale.
Une recherche expérimentale montre que plus consommateur se sent « éloigné » d’un produit plaisir dans le temps ou l’espace, plus il aura tendance à l’acheter.
Si, à l’origine, le chocolat est une boisson de luxe, il est aujourd’hui présent sous de multiples formes : tablettes, gâteaux, crèmes… Et la symbolique qui l’entoure est tout aussi variée.
L’engouement des consommateurs pour le chocolat est hélas lié à déforestation illégale d’écosystèmes très protégés. Mais peu à peu, des progrès sont accomplis pour favoriser le commerce éthique.
Après plusieurs tests, les chercheurs ont résolu de nombreux mystères concernant la fermentation du cacao et les micro-organismes qui donnent si bon goût au chocolat.
La domestication des microbes, au cœur de notre patrimoine alimentaire
CC BY-SA5,52 MB(download)
Depuis des milliers d’années, l’homme s’appuie sur un monde invisible pour produire des aliments comme la bière, le vin, le fromage ou encore le chocolat.
Fiorella Barraza, Institut de recherche pour le développement (IRD); Eva Schreck, Université de Toulouse III – Paul Sabatier, dan Laurence Maurice, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Des taux anormalement élevés de ce métal lourd ont été constatés dans les fèves de variétés cultivées en Amérique latine, notamment en Équateur.
Docteure en sciences du langage, Professeure à l’Universidad Estatal Amazònica, membre associée du Centre Interlangues Texte Image Langage (UR 4182), Université de Bourgogne