Les conséquences des confinements liés au Covid dépassent la maîtrise de l’épidémie. Le comité d’éthique de l’Inserm s’est penché sur la gestion de l’avortement et les violences conjugales en France.
La montée en puissance des plates-formes, qui s’est accélérée depuis le printemps 2020, complexifie la réponse envisagée par les États en matière de régulation.
Malgré les amortisseurs sociaux, le fossé s’est creusé entre les ménages les plus aisés, qui ont pu épargner, et les plus modestes, dont le pouvoir d’achat a baissé.
Les étudiants ont vécu des situations de confinement variées. Les inégalités que l’on constatait avant le confinement se sont accentuées, avec un impact sur leurs suivis médicaux.
Le confinement semble avoir été plutôt bénéfique pour les parents, qui ont signalé une amélioration de leurs conditions, tant sur le plan parental que relationnel.
Guy Tapie, École nationale supérieure d’architecture de Paris Val de Seine (ENSAPVS) – USPC
En limitant nos vies à l’enceinte de l’habitation, les confinements nous ont poussés à porter un nouveau regard sur elle, voire à revoir totalement nos stratégies résidentielles.
Pourquoi la baisse rapide des contaminations par le coronavirus a-t-elle surpris les modélisateurs ? À quoi s’attendre à la rentrée ? Combien de décès pourraient encore survenir ? Pistes de réponses.
La réouverture des bars et terrasses réactive la vie sociale mais aussi la crainte d’une forte alcoolisation de la jeunesse : or la recherche montre que celle-ci est plus responsable que l’on croit.
À une période où l’on est fortement incité à manger sainement, le goûter, associé aux produits sucrés et à l’enfance, a-t-il encore la cote ? Et s’il s’était réinventé avec la pandémie ?
Si les jeunes apprécient de se retrouver entre amis dans les fast-foods, ils font aussi partie d’une génération soucieuse de l’environnement, ce qui fait émerger de nouvelles habitudes alimentaires.
Le passeport sanitaire va-t-il devenir une réalité ? Après des mois de débats parfois houleux et de controverses, le recours à des outils technologiques risque de bouleverser notre droit.
Après un an de pandémie, la « distanciation sociale » apparaît comme l’indice d’une évolution profonde de nos sociétés et de nos modes de vie, imprégnés par la logique du sans contact.
Une étude d’économie comportementale relève la perte de bien-être des populations que peuvent engendrer des communications trompeuses sur les levées des mesures de restriction.
Avec les restrictions liées à la crise sanitaire, la détresse psychologique augmente chez les étudiants. Pour endiguer ce mal-être, les établissements tentent de miser sur l’activité physique.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Directrice de recherche émérite INED, chercheuse associée à l'Unité de recherche sur le vieillissement de la CNAV, Ined (Institut national d'études démographiques)
Psychiatre, addictologue, maître de conférences des universités - Praticien hospitalier, Inserm U1028 / CNRS UMR5292, responsable du SUAL (Service Universitaire d'Addictologie de Lyon), Université Claude Bernard Lyon 1