L’Ecole des hautes études en santé publique est l’Ecole de référence en France pour les cadres de la santé publique.
L’EHESP forme les cadres supérieurs de la fonction publique et propose des spécialités de diplôme national de master, des diplômes de masters spécialisés, des parcours de doctorat, ainsi qu’une offre complète de formation tout au long de la vie. Plateforme internationale pour l’enseignement et la recherche en santé publique, l’Ecole se structure autour de départements intégrés dans un projet interdisciplinaire : méthodes quantitatives en santé publique / santé, environnement et travail / institut du management / sciences humaines et sociales. Grâce à ses unités de recherche labellisées, l’EHESP mène des travaux en partenariat avec de nombreux centres de recherche à travers le monde.
L’EHESP, établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel, est un « Grand établissement » membre du réseau des écoles de service public, de la Conférence des présidents d’universités et de la Conférence des grandes écoles.
L’EHESP accueille 9 000 élèves, étudiants ou stagiaires provenant d’une cinquantaine de nationalités. Elle fait appel à 1 300 conférenciers français et internationaux par an et est partenaire de 20 universités dans le monde.
Claude Martin, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Dans les rayons des librairies, les livres de conseils destinés aux parents se multiplient. Qu'en penser ? Une certaine pression sociale ne s'aiguise-t-elle pas derrière ces bonnes intentions ?
Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Le Ségur vise à rendre notre système de santé plus efficient pour les patients, les soignants, les décideurs… Une tâche compliquée, tant il faut concilier des objectifs divergents.
Alessia Lefébure, École des hautes études en santé publique (EHESP)
La mobilité des étudiants à travers le monde augmente depuis les années 1990 et, avec elle, la concurrence entre les établissements. La crise du coronavirus change-t-elle les lignes de force ?
Pierre Le Cann, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Le confinement n’empêche pas les contaminations au sein d’un même logement. Parmi les bons gestes à adopter, nettoyez les toilettes ! Car le virus est aussi présent dans les selles…
Pascal Crépey, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Emmanuel Macron a annoncé une série de mesures pour freiner le Covid-19. Suffiront-elles ? Comment l’épidémie pourrait-elle évoluer ? Pascal Crépey, épidémiologiste, apporte des éléments de réponse.
François Langevin, École des hautes études en santé publique (EHESP)
L’hôpital s’est peu à peu complexifié et éloigné des villes, générant moult problèmes pour les soignants et les soignés. D’où la nécessité d’un nouveau type d’établissements de soins de proximité.
Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Si le recruteur détecte une anomalie, le candidat a évidemment de grandes chances d’être recalé. Toutefois, certains arrangements avec la réalité restent tolérés.
Laurent Chambaud, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Le 17 décembre dernier, les soignants manifestaient à nouveau pour réclamer davantage de moyens pour l’hôpital public. Retour sur les origines de cette crise systémique.
Ni catastrophiques ni anodines, les mesures de plomb effectuées après l’incendie doivent être interprétées en toute connaissance de cause. Explications.
Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
L’environnement de travail, mais aussi la reconnaissance ou encore la notion de métier participent à l’épanouissement des équipes – et donc à leur performance.
Laurent Chambaud, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Le secteur de la santé semble particulièrement ciblé par les fake news. Quelles hypothèses expliquent cette situation ? Quels sont les risques ? L’analyse de Laurent Chambaud, directeur de l’EHESP.
Alessia Lefébure, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Si, depuis la création d’Erasmus, le nombre de candidats n’a cessé d’augmenter, l’Union européenne insiste sur l’ouverture sociale nécessaire du programme. Qu’en est-il concrètement ?
Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Les critères retenus par la loi restent insuffisants pour définir précisément la pénibilité d’un métier, notamment car ils ne retiennent pas la dimension « bien-être ».
Alessia Lefébure, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Annoncées comme « révolutionnaires » en termes d’impact sur le système de santé, les nouvelles modalités d’accès aux études de médecine s’inscriraient plutôt dans la lignée des dernières évolutions.
Enseignante chercheuse - Responsable de la filière des médecins de l’éducation nationale - Membre du CERPOP (UMR1295, Inserm -UPS, Toulouse), École des hautes études en santé publique (EHESP)
Chercheur à l’Unité des Virus Emergents Aix-Marseille Université – IRD 190 – INSERM 1207 – IHU Méditerranée Infection, Enseignant-chercheur en psychologie sociale, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Professeur, département Méthodes quantitatives en santé publique (METIS), Univ. Rennes, EHESP, CNRS, Inserm, Arènes - UMR 6051, RSMS – U 1309, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Professeur émérite d’histoire de la santé, Ecole des hautes études en santé publique, Centre Virchow-Villermé., École des hautes études en santé publique (EHESP)