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École des hautes études en santé publique (EHESP)

L’Ecole des hautes études en santé publique est l’Ecole de référence en France pour les cadres de la santé publique. L’EHESP forme les cadres supérieurs de la fonction publique et propose des spécialités de diplôme national de master, des diplômes de masters spécialisés, des parcours de doctorat, ainsi qu’une offre complète de formation tout au long de la vie. Plateforme internationale pour l’enseignement et la recherche en santé publique, l’Ecole se structure autour de départements intégrés dans un projet interdisciplinaire : méthodes quantitatives en santé publique / santé, environnement et travail / institut du management / sciences humaines et sociales. Grâce à ses unités de recherche labellisées, l’EHESP mène des travaux en partenariat avec de nombreux centres de recherche à travers le monde. L’EHESP, établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel, est un « Grand établissement » membre du réseau des écoles de service public, de la Conférence des présidents d’universités et de la Conférence des grandes écoles. L’EHESP accueille 9 000 élèves, étudiants ou stagiaires provenant d’une cinquantaine de nationalités. Elle fait appel à 1 300 conférenciers français et internationaux par an et est partenaire de 20 universités dans le monde.

Site internet : www.ehesp.fr Twitter : @ehesp

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D'une certaine manière, les ouvrages sur l'éducation et la parentalité s'inscrivent dans la vogue du développement personnel. Shutterstock

Guides sur la parentalité : une infinie course au bien-être ?

Dans les rayons des librairies, les livres de conseils destinés aux parents se multiplient. Qu'en penser ? Une certaine pression sociale ne s'aiguise-t-elle pas derrière ces bonnes intentions ?
Sur les bords du canal Saint-Martin, à Paris, le 15 mars. Le biais d’ancrage a empêché certaines personnes d’adopter les bons comportements, malgré les communications officielles. Thomas Samson / AFP

Covid-19 et biais d'ancrage : quand notre cerveau nous empêche de prendre la mesure du risque

Le biais d’ancrage est un travers psychologique qui peut faire chavirer la perception du risque et les mesures de prévention de la COVID-19.
« Il n'y a pas d'amour, il n'y a que des preuves d'amour », disait le poète Pierre Reverdy. Une chose est certaine : le dialogue social doit se nourrir d'éléments tangibles (manifestation le 25 mai à Paris).  Ludovic Marin/AFP

Système de santé : Pourquoi est-il si difficile de répondre aux attentes des soignants ?

Le Ségur vise à rendre notre système de santé plus efficient pour les patients, les soignants, les décideurs… Une tâche compliquée, tant il faut concilier des objectifs divergents.
L’apparition de nouveaux critères peut à terme modifier les équilibres du panorama mondial de l’enseignement supérieur. Shutterstock

Covid-19 : une redistribution des cartes dans l’enseignement supérieur mondial ?

La mobilité des étudiants à travers le monde augmente depuis les années 1990 et, avec elle, la concurrence entre les établissements. La crise du coronavirus change-t-elle les lignes de force ?
Des passagers portant un masque de protection descendent d'un tramway dans le centre de Strasbourg, le 11 mai 2020, le premier jour de l'assouplissement des mesures de déconfinement, en place depuis 55 jours, pour freiner la propagation de la pandémie du Covid-19. Patrick Hertzog/AFP

Distanciation sociale, masques, flot de données : les informations sont-elles pertinentes ?

De nombreuses mesures de protection des individus se basent sur des analyses de données qui ne sont en réalité que des supputations.
Times Square, New York, 19 avril 2020, une affiche géante à l'instar de milliers d'autres qui diffusent des messages de remerciements, de solidarité ou de prévention. TIMOTHY A. CLARY / AFP

Repenser fondamentalement le concept de santé publique

Jamais nous n’avons autant entendu parler de santé publique, mais sait-on vraiment ce dont il s’agit ?
Peur pour soi, peur pour les autres… David Veksler/Unsplash

Pourquoi a-t-on peur face à l’épidémie ?

Cinq experts décryptent la peur qui a saisi la planète depuis l’apparition de l’épidémie en Chine il y a plusieurs semaines.
Comme l'École nationale de la magistrature, l’unique établissement en France qui forme les juges. Les directeurs d'hôpitaux publics ont une unique école : l'EHESP. Site IPAG / Université de Strasbourg

La formation des directeurs d’hôpital public, une singularité française

En France, ces gestionnaires appartiennent à la haute fonction publique et sont passés par une seule et même école.
Lors de son allocution du 12 mars, le président de la République a annoncé plusieurs mesures visant à contrôler l’épidémie de coronavirus SARS-CoV-2. Denis Charlet / AFP

Covid-19 en France : vers quelle évolution de l’épidémie ?

Emmanuel Macron a annoncé une série de mesures pour freiner le Covid-19. Suffiront-elles ? Comment l’épidémie pourrait-elle évoluer ? Pascal Crépey, épidémiologiste, apporte des éléments de réponse.
Piron Guillaume / Unsplash

Bientôt, des « smart hôpitaux » ?

L’hôpital s’est peu à peu complexifié et éloigné des villes, générant moult problèmes pour les soignants et les soignés. D’où la nécessité d’un nouveau type d’établissements de soins de proximité.
Environ deux personnes sur trois mentiraient sur leur CV. BlueSkyImage/Shutterstock

Que risque-t-on à tricher sur son CV ?

Si le recruteur détecte une anomalie, le candidat a évidemment de grandes chances d’être recalé. Toutefois, certains arrangements avec la réalité restent tolérés.
Personnel médical et étudiants en médecine ont défilé le 17 décembre à Paris pour demander plus de moyens pour l’hôpital public. Alain Jocard / AFP

Les racines de la crise de l’hôpital

Le 17 décembre dernier, les soignants manifestaient à nouveau pour réclamer davantage de moyens pour l’hôpital public. Retour sur les origines de cette crise systémique.
Les métiers du bâtiment sont généralement considérés comme pénibles. Welcomia / Shutterstock

Votre métier est-il vraiment pénible ?

Les critères retenus par la loi restent insuffisants pour définir précisément la pénibilité d’un métier, notamment car ils ne retiennent pas la dimension « bien-être ».
Le nombre de places dans les cursus médicaux est par conséquent directement lié aux capacités d’encadrement de stagiaires dans les services hospitaliers. Shutterstock

Études de santé : à qui profite la réforme de la première année ?

Annoncées comme « révolutionnaires » en termes d’impact sur le système de santé, les nouvelles modalités d’accès aux études de médecine s’inscriraient plutôt dans la lignée des dernières évolutions.

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