Inria est l’institut national de recherche en sciences et technologies du numérique. La recherche de rang mondial, l’innovation technologique et le risque entrepreneurial constituent son ADN. Au sein de 200 équipes-projets, pour la plupart communes avec les grandes universités de recherche, plus de 3 500 chercheurs et ingénieurs y explorent des voies nouvelles, souvent dans l’interdisciplinarité et en collaboration avec des partenaires industriels pour répondre à des défis ambitieux. Institut technologique, Inria soutient la diversité des voies de l’innovation : de l’édition open source de logiciels à la création de startups technologiques (Deeptech).
Bruxelles envisage de faire contribuer les plates-formes de contenu au financement des infrastructures, ce qui constituerait une discrimination envers les autres fournisseurs.
La cryptographie actuelle est basée sur le fait que les ordinateurs classiques ne peuvent pas résoudre tous les problèmes. Un paradigme que l’ordinateur quantique pourrait bousculer…
Les logiciels sont omniprésents dans notre vie et doivent sans cesse évoluer. Des outils informatiques analysant leur code peuvent faciliter ces mises à jour.
Les métavers ne sont pas issus d’une révolution technologique récente initiée par Facebook. Ils reposent sur de nombreux développements parfois anciens.
S’il est difficile de connaître les usages d’une nouvelle technologie, la 5G pourrait avoir des applications dans l’agriculture, la médecine ou les transports.
Si la 5G devrait apporter des avantages et améliorer la vitesse de nos communications, il ne faut pas oublier de penser à toutes les problématiques que pose cette nouvelle technologie.
Parmi les régions de France où la géothermie pourrait être déployée figurent les Pyrénées, mais il faut améliorer notre connaissance du sous-sol de cette région montagneuse.
Quelles leçons tirer des approches numériques de lutte contre la Covid un an après les premiers déploiements ? Quel équilibre entre liberté et surveillance, normes protectrices et état d'exception ?
ITER vise à démontrer l’intérêt de la fusion nucléaire pour la production d’énergie. Sur ce chemin semé d’embûches, les outils numériques permettent de mieux contrôler les risques et les coûts.
Comment les machines comptent-elles le temps qui passe ? Y a-t-il des limites à leur rapidité de calcul ? Dans quelle mesure de tels systèmes acquièrent-ils la notion du temps ?
Les microbes produisent des antibiotiques, des biocarburants et nettoient les eaux usées. Contrôler leur production est une affaire pluridisciplinaire.