Menu Close

Luxemburg Institute of Socio-Economic Research (LISER)

Depuis le 3 décembre 2014, CEPS/INSTEAD est devenu LISER (Luxembourg Institute of Socio-Economic Research).

LISER est un institut de recherche public luxembourgeois, sous la tutelle du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche. Ses travaux de recherche se concentrent essentiellement sur le domaine de la politique sociale et économique, y compris la dimension spatiale, et portent sur des questions telles que la pauvreté, l’inégalité, l’éducation, l’intégration sociale, l’emploi, le chômage, la santé, le logement, la mobilité et la convergence régionale. L'objectif est de mieux comprendre les relations de cause à effet et de fournir des preuves solides afin de mesurer l'impact des cadres institutionnels et des options politiques sur les résultats. Basé sur des données empiriques, l'Institut veut offrir des réponses claires et bien fondées à des questions politiques pertinentes. Les résultats sont publiés sous forme de comptes rendus de recherche, de monographies et d’articles scientifiques.

Les travaux de recherche de l'Institut sont effectués par trois départements de recherche : “Marché du Travail”, “Conditions de Vie” et “Développement Urbain et Mobilité”. En outre, une plateforme transversale de coordination offre des services communs à tous les départements et se charge de la création de synergies interdisciplinaires.

L'Institut compte 128 employés, dont 72 chercheurs et doctorants. L'équipe de recherche atteint un degré élevé d'interdisciplinarité car elle comprend des démographes, économistes, géographes, juristes, politologues, psychologues, sociologues et statisticiens.

Le CEPS/INSTEAD avait été officiellement créé par la loi grand-ducale du 10 novembre 1989, et jouissait d’une autonomie scientifique, administrative et financière.

Le LISER a été intégré dans un cadre légal unifié portant sur l'organisation des instituts de recherche publics au Luxembourg par la loi du 3 décembre 2014. Il bénéficie d'un budget annuel d'environ 18,5 Millions d'euros, dont 60% provient de l'Etat et 40% de sources de financement tiers (compétitif et contractuel). Ce financement est basé sur un contrat de performance pluriannuel.

Links

Displaying all articles

Plus d'un salarié sur trois déclare « être en contact avec des gens impolis » et « avoir des personnes qui prennent plaisir à faire souffrir » au travail. Dean Drobot/Shutterstock

L’incompétence professionnelle et sociale, première cause d’une mauvaise ambiance de travail

La recherche démontre que ce sont généralement les comportements des individus les moins compétents qui contribuent le plus à l’instauration d’un climat délétère au sein d’une équipe.
Les employés peuvent élaborer des stratégies d'« embellissement de façade » coûteuses pour l'entreprise. AJR_photo / Shutterstock

Des primes de performance pour motiver les salariés ? Ce n’est pas forcément une bonne idée…

Des chercheurs ont démontré que, dans les organisations qui pratiquaient la rémunération à la performance, les salariés avaient davantage tendance à dissimuler et manipuler les informations clés.

Authors

More Authors