Avec 9 000 étudiants de plus de 120 nationalités et 48 000 diplômés présents dans 145 pays, SKEMA Business School est une école globale qui, par sa recherche, ses 50 programmes d’enseignement, sa structure multi-site internationale forme et éduque les talents dont ont besoin les entreprises du XXIe siècle. Désormais, l’école est présente sur 7 sites : 3 campus en France (Lille, Sophia-Antipolis, Paris), 1 en Chine (Suzhou), 1 aux Etats- Unis (Raleigh), 1 au Brésil (Belo Horizonte) et 1 en Afrique du Sud (Le Cap). En septembre 2019, l’école a annoncé l’implantation à Montréal de SKEMA GLOBAL LAB in Augmented Intelligence, son laboratoire de recherche en intelligence augmentée et de son nouveau centre de R&D : SKEMA Quantum Studio.
SKEMA est multi-accréditée - Equis, AACSB et EFMD Accredited EMBA. Ses programmes sont reconnus en France (Visa, Grade de Master, RNCP, label CGE), ainsi qu'aux USA (licensing), au Brésil (certificação) et en Chine.
SKEMA Business School est un établissement d’enseignement supérieur et de recherche privé sous statut d’association Loi 1901 sans but lucratif doté de la qualification d’établissement d'enseignement supérieur privé d'intérêt général (EESPIG). Née en 2009 de la fusion entre l'Ecole Supérieure de Commerce de Lille et le CERAM Business School de Sophia Antipolis, ses deux écoles fondatrices ont respectivement été fondées en 1892 pour l’une et 1963 pour l’autre.
SKEMA est une communauté dédiée à l’apprentissage, à la création et à la transmission des connaissances et des pratiques de management. Depuis sa création, SKEMA a relevé le défi d’être une école globale grâce à sa structure multi-campus et offre un large portefeuille de programmes francophones et anglophones en formation initiale et en formation continue, aux niveaux Licence, Master et Doctorat.
Si les retombées des politiques de diversité ne sont plus à démontrer, ceux qui se chargent de les appliquer doivent encore lever certaines limites dans leur action.
Du point de vue du consommateur, la taxe sur la valeur ajoutée apparaît relativement injuste. Mais d’autres dimensions doivent venir compléter l’analyse.
Avec 10 ans de recul, on peut interpréter la crise de 2008 de deux manières. La première privilégie les mécanismes de rémunération ; la seconde insiste sur les erreurs cognitives des acteurs.
Dans l’économie de la connaissance, les savoirs de l’entreprise sont la source de son avantage concurrentiel. Un contexte dans lequel l’IA offre des opportunités précieuses.
More and more countries are relying on the approach of transparency rather than regulation. Depending on local specificities, the results to date remain mixed.
De plus en plus de pays misent sur l’approche par la transparence dans leur réglementation. Pour quelle efficacité ? Selon les spécificités locales, le bilan reste à ce jour mitigé.
En 1951, l’économiste Joseph Schumpeter expliquait que le capitalisme « éliminait les éléments vieillis en en créant continuellement des nouveaux ». Une théorie mise à mal par le contexte actuel.
Réfléchir à la singularité et aux capacités spécifiques de l’individu permet de l’orienter vers des fonctions où ses talents sont recherchés… et de le mettre à l’abri de situations d’hyperstress.
Dans les entreprises, les pratiques ont commencé à évoluer. Mais déjà, de nouveaux enjeux apparaissent : effets du digital sur la santé, partage de la valeur, et même… excès de bien-être au travail.
Dix ans après la faillite de Lehman Brothers, les formations ne permettent toujours pas, le plus souvent, de comprendre les interactions complexes entre finance, économie et société.
Les plateformes numériques sont devenues un objet d’étude important. Autour de deux questions : les innovations permises par les algorithmes et les règles de gouvernance qui en découlent.
Avant d'atteindre le marché, les startups innovantes sont soumises à des processus de sélection et d'expérimentation mis en œuvre par les capital-risqueurs.
Economist & Academic Dean of the MSc Financial Markets & Investments. Co-author of the book "Managing Country Risk in an Age of Globalization", SKEMA Business School