Située entre Genève, Berne et Zurich, l’Université de Neuchâtel se compose de quatre facultés qui accueillent quelque 4400 étudiantes et étudiants, dont 49% proviennent d’autres cantons suisses et 22% de l’étranger. On y propose de nombreuses possibilités de bachelor, ainsi que 24 filières de master, souvent originales, toutes reconnues par la Déclaration de Bologne, donc euro-compatibles.
L’Alma mater neuchâteloise offre ainsi un vaste programme d’études et de recherches dans des domaines novateurs répondant aux besoins de la société. Ces domaines se retrouvent notamment au sein des neuf centres de compétences retenus par le rectorat au terme d’une démarche participative.
L’Université de Neuchâtel emploie près de 770 collaboratrices et collaborateurs équivalents plein-temps dont 70% sont dédiés à l’enseignement.
L’institution est connue pour sa proximité entre étudiants et professeurs, dans une ambiance favorisant la qualité de l’encadrement, les échanges et la convivialité.
Les données globalisantes sur la ressource en eau et les projections climatiques ne sont pas d’une grande utilité et induisent même le risque de nous rendre indifférents à ce qu’ils annoncent.
All dingoes are ginger, right? Nope. They don’t bark? Wrong again. And they’re ultimately just wild dogs? Well, that’s trickier, but for conservation purposes the answer is still basically no.
Comment raconter aux nouvelles générations des Pays baltes les crimes soviétiques et nazis ? Quel est le juste équilibre pour dire les crimes des uns et des autres ? Chacun apporte sa réponse.
Pour la première fois, une Cour créée par l’Union africaine a donné raison à des victimes africaines envers un dictateur africain. Mais l'impact à l'échelle du continent demeure incertain.
Karadzic condamné, Seselj acquitté, Florence Hartmann embastillée… Le TPI sur l’ex-Yougoslavie est revenu sur le devant de la scène ces derniers jours. L’occasion de dresser le bilan de son action.