Héritière de l’Université de Bretagne créée au XVe siècle, l'Université de Rennes avec ses cinq grandes écoles composantes (EHESP, ENSCR, ENS Rennes, INSA Rennes, Sciences Po Rennes) considère la recherche et sa valorisation comme une priorité, comme une marque distinctive qui fait sa renommée à l’international et auprès des entreprises. Cet établissement public expérimental soutient l’émergence de projets innovants, en mettant à disposition des infrastructures d’appui agiles et performantes, tout en encourageant la recherche transdisciplinaire et partenariale. L’Université de Rennes est le premier déposant de brevets en Bretagne.
Université de recherche intensive, l'établissement dessine des axes d’excellence, mondialement reconnus, qui la placent parmi les quelques universités françaises citées dans les classements internationaux. À l’œuvre dans cinq secteurs (biologie-santé, environnement, matériaux, mathématiques-numérique, sciences de l'Homme, des organisations et de la société), associés aux organismes nationaux de recherche (CNRS, Inserm, Inria, INRAE), les scientifiques des 34 laboratoires sous co-tutelle de l’Université de Rennes sont au cœur des grands enjeux de la société de demain. À l’avant-garde des savoirs, l’établissement est un acteur de premier plan pour la formation de ses 37 000 étudiant.e.s, qu’elle soit initiale ou tout au long de la vie. Ce rôle lui confère une responsabilité considérable vis-à-vis de la société et fait de lui un moteur essentiel du développement socio-économique et culturel du territoire.
En France comme à l’international, l'Université de Rennes mobilise ses expertises pour relever les grands défis sociétaux d’un monde en transition, en particulier dans les domaines de l’environnement, de la santé globale et du numérique. L’Université de Rennes s’engage ainsi à jouer un rôle pilote dans la transition écologique et environnementale : elle entend contribuer activement à la préservation et à la restauration de la planète par la mise en œuvre des objectifs du développement durable des Nations unies.
Laurent Chambaud, École des hautes études en santé publique (EHESP)
En décembre, le président du plus grand institut de santé publique italien a démissionné, en raison des positions « non scientifiques » du gouvernement. Quand les fake news menacent la santé publique.
Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Les premiers travaux visant à mettre en place une organisation scientifique du travail ont rapidement été contestés. Près d’un siècle plus tard, ils continuent pourtant d’inspirer les entreprises.
Le plan « Ma santé 2022 », qui ambitionne de réformer le système de santé français, prévoit un redéploiement des moyens au sein d’une enveloppe globalement stable. Insuffisant ? À surveiller…
Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Il faut s’appuyer sur les forces vives des pays concernés par le manque de qualité des soins pour mettre en œuvre des formations à la fois pour les décideurs et les professionnels de terrain.
Judith Mueller, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Dans le monde, méningite et septicémie tuent plus que paludisme, SIDA, rougeole et tétanos réunis. Or si, en Afrique, les vaccins anti-méningite ont joué leur rôle, ils ne protègent pas la vie durant.
Jean-Marie Januel, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Mis en place après-guerre, le système de santé français n’est plus adapté aux besoins de la population. Nécessaire, sa refonte implique de pouvoir évaluer son efficacité. Ce qui n’est pas simple.
Etienne Minvielle, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Réduire les actes médicaux inutiles rendrait le système de santé français plus efficace. Ce n’est pas impossible, mais requiert une meilleure organisation dans la prise en charge des patients.
Alessia Lefébure, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Alors qu’une formation supérieure accélérerait leur intégration, seuls 1 % des réfugiés en âge d’étudier accèdent à l’université. En Europe, revue des écueils majeurs et de quelques solutions.
Analyse de la pratique des entretiens d’évaluation, outils plébiscités par les DRH, mais très critiqués. Et plaidoyer pour une autre forme d’entretien, où l’on intègre les risques.
L’utilisation des mégadonnées dans les divers champs de la santé bouleverse les pratiques. Il est donc nécessaire que la France comme l’Europe définissent de nouvelles règles.
Une étude menée sur la population américaine vient de revoir à la hausse le nombre de décès lié à l’exposition à ce métal lourd. De nouvelles mesures de prévention s’avèrent nécessaires.
Claude Martin, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Les jeunes trouvent qu’il est difficile de parler des sujets qui les préoccupent avec leurs parents. La scolarité prendrait-elle trop d'importance, et plus encore à l'approche du brevet et du bac ?
Jean-Marie Januel, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Une proportion importante des complications pourrait être évitée, lors des soins à l’hôpital. Le point sur les pistes d’amélioration, à l’occasion du sommet mondial sur la sécurité des patients.
Laurent Chambaud, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Quit smoking, quit drinking – so many good resolutions for the New Year. But can the overabundance of messages on healthy living become counter-productive?
Laurent Chambaud, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Lait pour bébé contaminé, Levothyrox, oeufs au Fipronil : les affaires menaçant notre santé se succèdent. Il existe pourtant des moyens de mieux anticiper ces problèmes, et de limiter leur ampleur.
Laurent Chambaud, École des hautes études en santé publique (EHESP) and Fabienne Azzedine, École des hautes études en santé publique (EHESP)
A l'occasion de la journée internationale des migrants, la question de leur santé mérite d'être examinée sur la base des données scientifiques. Tout comme le coût des soins.