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« Le pour et le contre » : Faut-il s’inspirer du système de crédit social chinois ?

Dans certaines régions de l’empire du Milieu, plus la note que les algorithmes attribuent aux citoyens est élevée, meilleurs sont leurs droits. Greg Baker / AFP

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Dans « Le pour et le contre », Julien Pillot (Inseec) dresse l’inventaire, non exhaustif, des arguments favorables et défavorables que donne la recherche académique sur une question de notre temps. Une boîte à outils qui vous aidera à vous positionner face aux grands sujets de société, à quelques semaines de l’élection présidentielle.


Dans un épisode majeur de la série dystopique Black Mirror intitulé NoseDive, la société du futur y est dépeinte comme régie par les notations que les individus attribuent à l’ensemble de leurs interactions sociales. Autrement dit, plus votre score social est élevé, meilleurs sont vos droits.

En Chine, la réalité a dépassé la fiction, puisque dans les plus grandes régions du pays, ce système de crédit social s’applique. Pourrait-il faire des émules en Occident ? Pourrions-nous nous acheminer vers une convergence de la gestion des individus via des algorithmes, comme le laisse penser Jean-Marie Guéhenno, professeur à Columbia et ancien secrétaire général adjoint des Nations unies ?

Dans ce cinquième épisode de notre série Le pour et le contre, Julien Pillot, enseignant-chercheur en économie à l’Inseec Grande École (groupe OMNES Education), détaille ce que dit la recherche de cette question. À vous de vous faire votre opinion.

À écouter aussi
Episode #1 - Faut-il continuer à organiser des méga-événements sportifs ?
Episode #2 - Faut-il mener une politique de « ruissellement » des richesses ?
Episode #3 - Faut-il augmenter les droits d’inscription à l’université ?
Episode #4 - Faut-il interdire les véhicules thermiques ?

Références citées dans le podcast (liste non exhaustive)


Crédits, conception, Julien Pillot et Thibault Lieurade. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni.

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