Assal Habibi, USC Dornsife College of Letters, Arts and Sciences
Nous avons désormais la preuve que la formation musicale joue sur le développement du cerveau, les progrès cognitifs, sociaux et émotionnels des enfants.
La recherche prouve que dès l'âge de 4 ans, les enfants se sentent mieux après s'être excusés et considèrent que ceux qui s'excusent sont plus gentils que les autres.
Le sentiment de confusion qui nous saisit parfois devant un problème complexe peut nous être utile. Signe d’une difficulté, il peut être surmonté et conduire à un meilleur apprentissage.
La peur des maths est peut-être fondée sur un trouble du développement : la dyscalculie. Comme la dyslexie, ce trouble intervient lors de l’apprentissage et nécessite une étude plus profonde.
La musique influence-t-elle la manière dont le cerveau perçoit les sons ? Et, si tel est le cas, peut-elle aider les plus petits dans l’apprentissage des langues ?
L’apprentissage doit être un projet prioritaire. Il faut le développer dans le second cycle du secondaire, en finir avec l’incroyable complexité du système, revoir sa gouvernance et son financement.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)