Faut-il, face à la vague populiste-nationaliste, jouer la partition de la cohésion européenne à tout prix, ou bien appeler un chat un chat et aller au clash avec Varsovie ou Budapest ?
Pierre Guerlain, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Listes électorales tronquées, poids de l’argent, charcutage électoral : la démocratie est toujours invoquée aux États-Unis, mais elle n’y a pas que des amis.
Armelle Enders, Université Paris 8 – Vincennes Saint-Denis
Ce qui est en train de se passer au Brésil est d’une importance capitale pour les démocraties occidentales, déjà rongées par la montée de droites radicales, souvent dites « populistes ».
L’obscurantisme contemporain ne peut être défini de façon restrictive. Il est plus complexe qu’il n’y paraît. Et l’obscurantisme technologique progresse sur notre planète informatisée.
Plusieurs semaines après le vote, l’opposant Soumaïla Cissé continue à mobiliser ses partisans partout au Mali et dans plusieurs capitales étrangères pour dénoncer une élection fraudeuse.
L’homme politique qui sait reconnaître et saisir le kairós s’impose comme un visionnaire et un homme providentiel qui a su lire l’enchaînement mécanique d’une destinée qu’il impose à tous.
Nous nous sommes habitués à vivre dans un monde où une poignée d’individus décident de la meilleure façon d’allouer chaque année plusieurs millions d’euros d’argent privé.
Ismail Ferhat, Université de Picardie Jules Verne (UPJV)
Dans l’Europe dévastée de 1945, les sociaux-démocrates sont marqués par les expériences qu’ils ont subies- d’où leurs réactions parfois hostiles à à la révolte étudiante des années 1960.
Qu’est-ce qui est le plus prudent dans nos « démocraties » pour un citoyen soucieux de défendre des droits humains fondamentaux et le collectif ? Risquer la mort sociale ou opter pour l’anonymat ?
L’horizon de la parité successorale répond à un enjeu économique, s’inscrit dans une mutation sociale et prolonge la sécularisation du système juridique tunisien.
Le rétablissement en 2008 du droit d’intervention du Président devant les chambres, complété par la proposition de Macron, constitue un spectaculaire renversement des bases du régime parlementaire.