Après la prise de contrôle de Twitter par Elon Musk en octobre 2022, beaucoup s’inquiètent de la réapparition des comptes nationalistes qui avaient été suspendus auparavant.
La plateforme X délègue désormais une partie de la lutte contre la désinformation à ses utilisateurs et utilisatrices, les plaçant en première ligne. Cette stratégie n’est pas exempte de dérives.
L’augmentation de la désinformation sur X est notamment attribuable à une stratégie d’Elon Musk qui vise à museler les chercheurs qui tentent de l’étaler au grand jour.
La changement de nom s’inscrit dans une stratégie qui vise notamment à monétiser davantage les contenus et à endiguer la fuite d’annonceurs échaudés par les débuts d’Elon Musk à la tête de Twitter.
Elon Musk a rétabli les comptes des utilisateurs, dont Donald Trump, qui avaient été suspendus pour violation grave des règles de la plate-forme. En se prévalant de « la volonté du peuple »…
Dès les premières rumeurs, beaucoup ont fermé leur compte. Sans doute car la stratégie d’acquisition de l’entreprise a, comme souvent, oublié de tenir compte de la satisfaction des usagers.
Les transports les plus rapides physiquement ne sont pas nécessairement ceux qui ont la vitesse « économique » la plus élevée. Ni les plus démocratiques.
Des éléments comme la marque, les brevets, ou encore le nombre d’utilisateurs d’un service, difficiles à quantifier, jouent un rôle essentiel dans le prix d’acquisition d’une entreprise.
La communication de l’homme le plus riche du monde autour de son rachat du réseau social présente de troublantes similitudes avec le populisme tel qu’il est pratiqué par certains acteurs politiques.
Le projet du patron de Tesla pour le réseau social qu’il vient de racheter pourrait entrer en contradiction avec la nouvelle réglementation des services numériques européenne.
Twitter, plus que tout autre réseau social, permet de suivre et de commenter les événements en temps réel. L'acquisition de la plate-forme par Elon Musk pourrait radicalement changer la donne.
Faouzi Bensebaa, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières and Fabien Eymas, Université de Haute-Alsace (UHA)
Testaments en ligne, cryogénisation, chatbots pour communiquer avec un défunt… Les innovations sont nombreuses et ne se semblent pas apparaître au détriment d'un business plus traditionnel
Les interfaces cerveau-machine visent aujourd'hui à réparer les corps. Mais demain ? Que penser des produits tels que ceux développés par Neuralink, la start-up cofondée par Elon Musk ?
Si quelque 7 millions de personnes peuvent aujourd’hui s’offrir un vol suborbital, et bientôt davantage avec la baisse des coûts d’accès à l’espace, le tourisme spatial de masse n’est pas pour demain.
Le prix de la cryptomonnaie, dépourvue de valeur d’ancrage, apparaît très sensible aux émotions collectives. Des chercheurs ont ainsi montré que les krachs étaient appelés à se multiplier.
L’exploitation minière de l’espace est peut-être plus proche que vous ne le pensez. Mais il est urgent de régler les questions juridiques relatives à la propriété des ressources spatiales.
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)
Conservateur des bibliothèques, chargé de mission pour la valorisation de l'information scientifique et technique, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières