Les pleurs déclenchent des changements dans la façon dont le nouveau-né reçoit son oxygène. Mais tous les nouveau-nés ne pleurent pas forcément, et ce n’est pas toujours un problème.
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Le fait est connu pour les femmes : la fertilité baisse avec les années. Il l’est moins pour les hommes. Pourtant l’impact de l’âge, s’il se manifeste différemment, est tout aussi réel… Petit rappel.
Une étude très récente s’est intéressée à l’accouchement chez les australopithèques pour comprendre depuis quand donner naissance était si difficile chez les humains.
Depuis la naissance d’Amandine, où en sommes-nous de la fécondation in vitro en France ?
Les mères n’ayant pas vécu l’accouchement comme « magique » peuvent éprouver un sentiment de honte, de déception voire d’échec. Un état qui n’est pas sans conséquence pour elles et leurs enfants.
Certains moments de rupture provoquent des changements dans nos routines, et sont l’occasion d’adopter des pratiques plus favorables à l’environnement… à certaines conditions.
Tu peux trouver ta question bizarre, mais en réalité, beaucoup de personnes se la sont posée et chaque réponse peut être différente.
Les virus ne sont pas forcément mauvais pour nous. Ils peuvent même être à l’origine de nouvelles évolutions comme l’apparition du placenta chez les mammifères.
Quelle est la proportion d’accouchements par césarienne dans le monde ? Et comment varie-t-elle d’un pays à l’autre ? Un bref panorama…
Un système sur le modèle de l’assurance maladie permettrait de limiter l’impact des absences pour les entreprises tout en réduisant les inégalités entre les femmes et les hommes.
Comprendre comment les pères avec un nouveau-né ont vécu le confinement et ce qu’ils ont fait durant cette période offre des pistes pour repérer les potentiels effets d’une telle réforme.
En moyenne, au sein d’une classe à l’école, on s’attend à avoir un enfant conçu par PMA.
En Afrique subsaharienne notamment, les femmes qui ont des enfants en ont beaucoup en moyenne, mais nombre d’entre elles n’en ont pas du tout. L’idée d’une forte fécondité reste donc à nuancer.
Pourquoi l’immigration contribue-t-elle fortement aux naissances mais faiblement au taux de fécondité ?
Top contributors
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Directrice de recherche, Santé et Droits Sexuels et Reproductifs, Institut National d'Études Démographiques (INED)
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Anthropologue et démographe, professeur émérite au Muséum national d’histoire naturelle et conseiller de la direction de l'INED, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
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Senior fellow in demography, Institut de recherche pour le développement (IRD)
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Professeur Associé. Digital I IT. GEMinsights Content Manager, Grenoble École de Management (GEM)
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Professeur d'économie, Université catholique de Louvain (UCLouvain)
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Chercheur à l'Université du Québec à Montréal, Université du Québec à Montréal (UQAM)
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Professeur de Psychiatrie, Responsable du Centre Régional de Psychotraumatologie CVL , Université de Tours
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Professeur des Universités, en Biologie Cellulaire et Biologie du Développement, Université de Lille
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Associate Professor - IESEG School of Management (LEM-CNRS 9221), IÉSEG School of Management
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Professeur au Collège de France, chaire Migrations et sociétés, directeur de l’Institut Convergences Migrations, Collège de France
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Professeure en psychologie, Grenoble École de Management (GEM)
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Assistant Professor, Université Libre de Bruxelles (ULB)
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Doctorante en sociologie, INED, Sciences Po
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Directeur de recherche, Institut de recherche pour le développement (IRD)
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Sociologue, Ademe (Agence de la transition écologique)
