Mangroves, coraux et herbiers marins forment à l’île Maurice trois écosystèmes interconnectés, dont l’équilibre peut être durablement bouleversé par la pollution au pétrole.
L’alerte, lancée sur les réseaux sociaux, a révélé l’incurie de l’État et de l’entreprise, et suscité une attention médiatique nouvelle pour les menaces écologiques qui pèsent sur le Grand Nord.
La catastrophe écologique survenue dans l’Arctique russe s’explique par les négligences humaines plus encore que par le changement climatique. D’autres tragédies similaires sont à craindre.
Miser sur l’identité artisanale et le développement durable apparaissent comme les pistes à privilégier pour sauver la Sérénissime, actuellement désertée par les visiteurs.
Thibault Lescuyer, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
L’Oréal a publié une étude en 2019 établissant que ses crèmes solaires seraient sans danger pour les coraux. La communauté scientifique n’est cependant pas unanime sur la question.
Les larves de poisson se nourrissent de plancton mais de plus en plus de plastiques de taille similaire sont présents dans les océans donc les chances de consommer du plastique augmentent.
En France, les pesticides constituent la première source de pollution des cours d’eau. Mais de nombreuses autres substances restent difficiles à détecter.
La surconsommation de plastique et les déchets qu’elle génère ont un impact fort sur l’environnement marin : la lutte contre ce fléau doit passer par une réduction de la production de plastique.
Diana Cooper-Richet, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Si la pollution est devenue un enjeu conscient il y a quelques décennies seulement, ses conséquences sur les villes étaient déjà perçues pendant la révolution industrielle.
Est-il possible de produire sainement en zone urbaine ? C’est la question à laquelle un ensemble de travaux de recherche tente de répondre depuis 2012.
Dans des eaux où les nutriments et les molécules chimiques sont toujours plus présents, des bactéries toxiques peuvent se développer et compromettre les activités estivales.
Chercheur au Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Maître de conférences en sciences économiques, chargée de recherche au CEPII – Recherche et expertise sur l'économie mondiale, Université Paris Dauphine – PSL
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne