Sacs à main, montres… De plus en plus de produits de luxe sont proposés à la location pour répondre à une nouvelle demande. Ce qui n’est pas sans conséquence pour les marques.
Les initiatives comme « C’est qui le patron ? ! » ont un impact positif mais font porter au consommateur l’entière responsabilité du changement, oubliant les rôles de l’État et des grandes entreprises.
La prise de conscience écologique dépasse désormais le cadre privé : sur leur lieu de travail, des ambassadeurs de la lutte contre le changement climatique tentent de faire bouger les lignes.
Un minimum d’option semble être intéressant afin de pouvoir comparer et faire un choix, mais trop d’option pourrait être perturbant, trop d’option pourrait être désemparant.
De plus en plus, les individus aspirent à modifier leurs valeurs et leurs pratiques à travers le sens qu’ils donnent à leur quotidien, par l’intermédiaire de la consommation.
Les travaux d’A.C. Pigou sur les externalités valident complètement la pénalisation de la circulation en ville. Mais le contexte social et fiscal va obliger l’exécutif à composer minutieusement.
Dans notre société, la consommation est omniprésente. Elle a des implications individuelles et sociales importantes. Comment mieux consommer ? L’éthique propose des réponses à cette question cruciale.
Le cas de la start-up Phenix montre que la lutte contre le gaspillage alimentaire nécessite un contexte réglementaire incitatif et des logiques d’innovation à l’échelle de l’écosystème d’affaires.
Responsables politiques, producteurs, transformateurs, distributeurs, consommateurs, associations… À tous les niveaux, des outils et des conseils pour réduire le gaspillage.
Dans son dernier ouvrage Carlo Strenger, philosophe et essayiste, nous interpelle : et si, plutôt que de sombrer dans la peur et le défaitisme, nous redevenions des hommes libres ? Bonnes feuilles.
N’importe quel objet marchand peut devenir sacré pour son possesseur parce que la sacralisation résulte essentiellement d’un processus d’investissement émotionnel. Jusqu’à des « émeutes Nutella » ?
Bien avant que l’on parle de décroissance, Jacques Ellul avait démontré comment la sacralisation de la technique moderne fait obstacle à la liberté humaine.
Toutes les façons de consommer ne se valent pas et de nouvelles formes s’organisant autour du « faire » émergent, offrant de nouvelles perspectives où consommation et frugalité ne s’opposent pas.
Comment la théorie du désir et des plaisirs chez le penseur grec Épicure peut nous aider à identifier les différentes stratégies consommatoires et leurs enjeux contemporains.
Professor of Supply Chain Management and scientific co-director of the Deloitte Chair "Circular Economy & Sutainable Business Models", ESCP Business School