Le Rwanda a repoussé les pressions internationales visant à libérer Paul Rusesabagina, un homme rendu célèbre par Hollywood.
Le président rwandais Paul Kagame et la première dame Jeannette Kagame allument une flamme commémorative lors de la 27e commémoration du génocide de 1994 au Mémorial du génocide de Kigali, à Kigali, au Rwanda, le 7 avril 2021.
Simon Wohlfahrt/AFP
Retour détaillé sur l’évolution de la commémoration par les autorités rwandaises du génocide de 1994.
Kigali, 18 mai 2020 : un homme consulte un article du New York Times consacré à l'arrestation de Félicien Kabuga, survenue deux jours plus tôt.
Simon Wohlfahrt/AFP
Quelles seront les conséquences de l’arrestation en mai dernier, en France, de Félicien Kabuga, considéré comme l’un des grands responsables du génocide rwandais de 1994 ?
Au mémorial du génocide, Kigali, 29 avril 2018.
Yasuyoshi Chiba/AFP
De 1992 à 1994, le régime en place au Rwanda aurait importé 581 tonnes de machettes, ce qui démontrerait l’intentionnalité du génocide. Ce chiffre est toutefois discutable.
Joachim Ntahondereye, président de la Conférence des évêques catholiques du Burundi, signe le registre de condoléances installé au palais après l'annonce de la mort du président.
Tchandrou Nitanga / AFP
Se représenter le génocide comme l'enfer suggère que les horreurs ne sont pas concevables. On ne peut les imaginer que symboliquement. Or, il s'agit de violences provoquées par des événements politiques.
Mémorial du génocide à Kigali. Comment les humanitaires font-ils face aux horreurs de la guerre ?
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