Après plusieurs années d'études en biologie à l'Université Paul Sabatier de Toulouse, j'ai choisi de me spécialiser dans un domaine de la chimie analytique appelée la protéomique. Durant ma thèse, je me suis intéressée aux protéines contenues dans les muscles de l’ours, afin de comprendre l’origine de sa « résistance à la sédentarité » dans l’optique de pouvoir un jour l’appliquer à l’être humain, pour lutter contre l’atrophie musculaire.